blog cours de theatre - Festival
blog ouvert sur le théâtre vivant. Vie, avis et projets d'une troupe d'étudiants en formation de comédien en atelier theatre à Mantes-la-Jolie, près de Paris
2023-01-20T08:45:32+00:00
Yves Brette
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Dotclear
Les Renc’Arts investissent le Mantois du 11 au 20 octobre !
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2008-10-03T08:28:05+00:00
2008-10-03T08:30:53+00:00
yves brette
Festival
<p>Les Renc’Arts, ce sont 10 jours consacrés à la musique, la danse, au théâtre et à la lecture publique, avec des spectacles, conférences, concerts, animations de stands à la rencontre du grand public, expositions, démonstrations, lectures publiques ou musicales… de quoi ravir un public large, avide d’émotions et de découvertes.</p>
<p>Nouveauté cette année : les acteurs culturels ouvrent leurs scènes et leurs salles. Plus de 20 rendez-vous portent le label Renc’Arts, gage de qualité et reflet de la diversité des talents du territoire.</p>
<pre></pre>
<p>5€ offerts pour chaque spectacle</p>
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<p>Dans le cadre des Renc’Arts 2008, un chèque-remise de 5€ est offert par la Communauté d’Agglomération de Mantes en Yvelines, sur chacune des places achetées pour les spectacles payants.</p>
<p>Ce chèque sera disponible dans le journal gratuit JTM du jeudi 25 septembre, distribué dans plus de 140 lieux dans le Mantois (liste complète sur www.jtm-info.fr) et chez les acteurs culturels du Mantois suivants fin septembre :</p>
<p>- Bibliothèques de Guerville, Magnanville, Mantes-la-Ville, Porcheville et médiathèques de Mantes-la-Jolie (Georges-Duhamel et Louis-Aragon) et Rosny-sur-Seine.</p>
<p>- Blues sur Seine
- CAC Georges Brassens
- Centre des Arts et Loisirs de Buchelay
- Collectif 12
- Communauté d’Agglomération de Mantes en Yvelines - Service culturel
- ECM Le Chaplin
- École nationale de musique de danse et de théâtre de Mantes en Yvelines
- Hospice Saint-Charles
- La Passerelle
- Magnanville Jeunesse
- OMMASEC - Le Colombier
- Salle Jacques Brel
- Théâtre du Mantois – La Nacelle
- Trois petites notes de musique
- Université du Mantois Camille Corot</p>
<pre></pre>
<p>Pour toute information : 01 30 98 78 02 Programme complet...</p> <p>Samedi 11 octobre
11h, 14h30 et 16h30
Démonstration de papier marbré
Atelier
Le papier marbré a été très utilisé pour la reliure
des livres. Il décorait l’intérieur de la couverture
et parfois les plats de celle-ci.
Aujourd’hui, outre son rôle dans la reliure, la
très grande variété des motifs que la technique
« à la cuve » permet, incite les artisans d’art à
l’utiliser dans leurs réalisations d’objets décoratifs
ou fonctionnels en carton.
Entrée gratuite sur inscription
Centre des Arts et Loisirs de Buchelay
Informations et réservations : 01 30 92 59 20
ou c.aumont@mairie-buchelay.fr
Dans le cadre de la Biennale de l’Écrit
« Recto-verso, la face cachée du papier »
Un partenariat Commune de Buchelay
Association Signe et Image
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Samedi 11 octobre
15h30 et 17h
Flon-Flon et Musette
Marionnettes (à partir de 4 ans)
D’après Elzbiéta - Édition : L’école des loisirs - O’ Navio Théâtre
Il est un endroit où les coquelicots poussent
sur le sable. Parfois, c’est la neige qui recouvre
le sable et les coquelicots ; parfois, ce sont
les fils de fer barbelés. Dans cet endroit, il y a
aussi une grande fenêtre qui donne sur l’histoire
de Flon-Flon, séparé de son amie Musette parce
qu’elle est « de l’autre côté » de la guerre.
« Flon-Flon et Musette attire la sympathie non seulement des
plus jeunes, mais encore des adultes (blasés) que nous sommes.
Autant dire que le spectacle est une réussite. Le jeu simple,
plein de tendresse, et la mise en scène, astucieuse, attachante,
projettent sur le spectateur de l’émotion laissent grande ouverte
la fenêtre de notre imaginaire . »
L’écho du Centre
Plein tarif : 7 € - Tarif réduit adhérents : 5 €
Le Colombier - Rue de la Ferme - Magnanville
Informations et réservations : 01 30 92 70 33
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Samedis 11 et 18 octobre
et mercredi 15 octobre
Après-midi
Lectures publiques
Un hommage au papier sous toutes ses formes
La Municipalité de Buchelay et l’Association
Signe et Image poursuivent leur objectif de développement
de la lecture publique et de l’Écrit.
Dans ce cadre, elles proposent, en partenariat
avec les bibliothèques de la Communauté
d’Agglomération et la Bibliothèque Départementale
des Yvelines, de nombreuses lectures
de contes, extraits de textes et poèmes.
Entrée libre
Bibliothèques de Buchelay, Guerville, Magnanville,
Mantes-la-Jolie, Mantes-la-Ville, Porcheville et Rosny-sur-Seine,
Avec la participation du poète Gérard Duvallet
Programmation précise : 01 30 92 59 20
ou c.aumont@mairie-buchelay.fr
Dans le cadre de la Biennale de l’Écrit
« Recto-verso, la face cachée du papier »
Un partenariat Commune de Buchelay
Association Signe et Image
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Dimanche 12 octobre
15h30
Le Café Littéraire
« Chanteurs, vos papiers ! »
Création musicale de Magnanville-Jeunesse
Réalisation artistique : Alain Léamauff
Plasticienne : Gaëlle Querrec
Après le Café Libertaire, Magnanville Jeunesse
vous propose un spectacle musical, mettant en
scène des chansons et des poèmes « d’humeur
Papier ».
Entrée gratuite
Halle de Buchelay
Informations et réservations : 01 30 92 59 20
ou c.aumont@mairie-buchelay.fr
Dans le cadre de la Biennale de l’Écrit
« Recto-verso, la face cachée du papier »
Un partenariat Commune de Buchelay
Association Signe et Image
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Lundi 13 octobre
14h
La fabrication industrielle du papier
Conférence organisée par l’Université du Mantois Camille Corot
Denis Peaucelle, conservateur du musée
Le Nil à Angoulême, abordera l’histoire industrielle
de la fabrication du papier, tandis que
Jacques Brejoux, responsable du Moulin du
Verger à Angoulême, évoquera le Papier de
Chine et le Papier arabe.
Tarifs : 6,50€, 7€, 9€
Hôtel de Ville de Buchelay
Informations et réservations : 01 30 92 59 20
ou c.aumont@mairie-buchelay.fr
Dans le cadre de la Biennale de l’Écrit
« Recto-verso, la face cachée du papier »
Un partenariat Commune de Buchelay
Association Signe et Image
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Mardi 14 octobre
17h30
Fondements et courants de l’islam
Conférence-projection organisée par l’Université du Mantois
Camille Corot - Par Nicolle Samadi
Le pilier du monothéisme islamique, le Tawhid,
forme l’ossature du discours coranique et établit
une frontière entre la « religion vraie », l’islam, et
les autres monothéismes. Nous tenterons d’approfondir
cette notion d’un Dieu exclusif et absolu
et d’en souligner les conséquences. Le fait coranique
et la proclamation de l’unité divine n’ont
pas empêché les divisions entre musulmans. Des
courants apparaissent dès la mort du Prophète.
Quel rôle jouent les principaux schismes de l’islam
dans la géopolitique du monde actuel ?
Tarif : 7€
Hôtel de la CAMY - Rue des Pierrettes - Magnanville
Informations et réservations : 01 30 42 91 59
ou 01 30 42 91 55 ou hospice-corot@wanadoo.fr
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Mardi 14 octobre
20h30
Les mardis de la Passerelle
Concert d’Isabelle Mayereau
« Quand la chanson dite française se nourrit de couleurs jazzy
mâtinées de rythmes latinos et d’histoires de vies qui font mouche
parce que riches d’émotions sincères et d’humour à partager,
alors on en redemande toujours. C’est le style Isabelle
Mayereau. Elle garde ce phrasé tellement élégant dans ses
paroles et cette touche si légère sur sa guitare que les années
peuvent s’écouler « La » Mayereau surprend toujours »
Extrait de Jean-Pierre Bourcier - La Tribune
Tarif : 5€
Centre socioculturel La Passerelle
41 rue Nationale - 78710 Rosny-sur-Seine
Informations et réservations : 01 30 42 80 60
Un partenariat Ville de Rosny-sur-Seine / Magnanville Jeunesse
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Mercredi 15 octobre
14h30
KAMISHIBAÏ, le petit Théâtre
de papier japonais
Spectacle animé par le conteur Jean-Claude Pommier,
de la compagnie franco-japonaise Pokkowapa, le Kamishibaï
va enchanter son public par des contes japonais
Il traversait jadis les villages pour narrer des histoires
aux enfants, illustrées de planches expressives,
coulissantes dans un théâtre portable.
Spectacle gratuit
Espace Lecture Les Brouets - Mantes-la-Ville
Informations et réservations : 01 30 92 59 20
ou c.aumont@mairie-buchelay.fr
Dans le cadre de la Biennale de l’Écrit
« Recto-verso, la face cachée du papier »
Un partenariat Commune de Buchelay
Association Signe et Image
www.agenda-culturel-mantois.fr
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Mercredi 15 octobre
15h
Papillage
Danse, musique et jeux de papiers
Un spectacle de MAD Production
Conception Nadine Dumain et Michala Marcus
Sur scène des objets imaginaires en papier.
Accompagnée d’un contrebassiste, une danseuse
virevoltante les met en mouvement et leur
insuffle la vie. Entrant et sortant des pages d’un
grand livre, elle rencontre des feuilles qu’elle
métamorphose pour fabriquer des histoires ou
des images : livre-carrousel de petits personnages,
animal insolite, chenille, femme en costume
de papier, écran d’ombres et d’écritures…
Un tourbillon de poésie pour un hommage magnifique au livre et au
papier. Un spectacle étonnant, qui nous rappelle que des origines
à nos jours, le papier nous raconte autant qu’il se raconte.
Tarif plein : 12€ - Tarif réduit : 8€ - Tarif groupe et moins de 12 ans : 6€
La Nacelle - Rue de Montgardé - Aubergenville
Renseignements et réservations : 01 30 95 37 76
ou www.lanacelle.org
Dans le cadre de la Biennale de l’Écrit
« Recto-verso, la face cachée du papier »
Un partenariat Commune de Buchelay
Association Signe et Image
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Jeudi 16 octobre
20h
Mantes chante
Scène acoustique
Découvrez des groupes et des artistes locaux
à l’occasion de la sortie de la compilation de chanson
française Mantes chante : Boule et Caillou,
Princes Chameaux, Melle Sane, Alain Léamauff,
Les pieds libres, Ivan Malherbe, Entre Deux,
Jennifer Paprocki, ManouchK !
Entrée libre
CAC Georges Brassens - 18 rue de Gassicourt - Mantes-la-Jolie
Renseignements et réservations au 01 30 63 03 30
Programme complet sur www.cacgeorgesbrassens.com
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Jeudi 16 octobre
20h30
Novecento : pianiste
d’Alessandro Baricco
Lecture musicale
Mise en espace par Philippe Chateau
Avec Tchili, Marcel Mankita, Philippe Chateau
Piano : Benoît de Mesmay.
Spectacle créé en collaboration avec l’École nationale de musique
de danse et de théâtre de Mantes en Yvelines et le Collectif 12
et en coproduction avec le Théâtre du Mantois
Au début du XXe siècle, sur le pont du Virginian,
un marin trouve un enfant dans un carton de citrons
posé sur un piano. Il le nomme Novecento.
Pendant plus de trente ans, Novecento ne quitte
pas le navire, ne met pas un pied à terre. Et pourtant,
il devient le plus grand pianiste de jazz…
Sa célébrité arrive jusqu’aux oreilles de Jelly
Roll Morton « l’inventeur du jazz », qui s’embarque
pour une traversée sur le Virginian afin de
défier Novecento dans un duel de touches noires
et blanches.
Tarifs : 12,50€ / 9,50€ (+ de 60 ans, demandeurs d’emploi,
étudiants, groupe d’au moins 5 personnes, adhérents
des structures partenaires de la Communauté d’Agglomération
de Mantes en Yvelines) et entrée libre (Élèves de l’ENM,
élèves des écoles de musique de la Communauté d’Agglomération
de Mantes en Yvelines, enfants de moins de 16 ans).
Auditorium - École nationale de musique de danse et de théâtre
de Mantes en Yvelines - 12 Boulevard Calmette - Mantes-la-Jolie
Tél. : 01 34 77 88 88 - www.enm-mantes.fr et www.collectif12.org
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Vendredi 17 octobre
17h30
KAMISHIBAÏ, le petit Théâtre
de papier japonais
Spectacle animé par le conteur Jean-Claude Pommier,
de la compagnie franco-japonaise Pokkowapa, le Kamishibaï
va enchanter son public par des contes japonais
Il traversait jadis les villages pour narrer des histoires
aux enfants, illustrées de planches expressives
coulissantes dans un théâtre portable.
Spectacle gratuit
Bibliothèque de Buchelay - 14 route de Mantes - Buchelay
Informations et réservations : 01 30 92 59 20
ou c.aumont@mairie-buchelay.fr
Dans le cadre de la Biennale de l’Écrit
« Recto-verso, la face cachée du papier »
Un partenariat Commune de Buchelay
Association Signe et Image
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Vendredi 17 octobre
20h
Mantes chante
Café concert - Sortie de la compilation
Découvrez des groupes et des artistes locaux
à l’occasion de la sortie de la compilation de chanson
française Mantes chante : Boule et Caillou,
Princes Chameaux, Melle Sane, Alain Léamauff,
Les pieds libres, Ivan Malherbe, Entre Deux,
Jennifer Paprocki, ManouchK !
Entrée 5 € - Gratuit pour les adhérents du CAC
Entrée + CD 10 €
CAC Georges Brassens - 18 rue de Gassicourt - Mantes-la-
Jolie
Renseignements et réservations au 01 30 63 03 30
Programme complet sur www.cacgeorgesbrassens.com
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Vendredi 17 octobre
20h30
Saleté
Théâtre - Danse hip-hop
D’après Robert Schneider
Chorégraphie et mise en scène Farid Ounchiouene
Texte dérangeant, Saleté raconte l’histoire de Sad,
irakien débarqué en Allemagne et vendeur de
roses. À travers le personnage de Sad, immigré
clandestin qui a étudié la philosophie et la
littérature allemande, Robert Schneider interroge
l’intériorisation des préjugés et des fantasmes
sociaux. La Compagnie Farid’O propose une
interprétation de ce monologue où quatre danseurs
incarnent tour à tour Sad et ses souvenirs, Sad
et ses souffrances, Sad et les autres... La légèreté
de la danse vient alors étrangement résonner
avec la dureté du texte.
Tarifs : 10€, 5€ et 3€
Collectif 12 - 174 Boulevard du Maréchal Juin - Mantes-la-Jolie
Informations et réservations : 01 30 33 22 65 - www.collectif12.org
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Vendredi 17 octobre
21h
Correspondances
Danse africaine et hip-hop par la Cie Georges Momboye
Après Clair de lune, le retour de Georges
Momboye à La Nacelle ! Et un nouveau défi :
la confrontation explosive de la danse africaine
et du hip-hop. Les Correspondances de ce dernier
spectacle sont celles qui se lient ici entre la
tradition et l’univers urbain. Mais ce sont aussi
celles qui peuvent se nouer sur un quai de gare,
espace unique de la chorégraphie, propice aux
rencontres fortuites, où l’on se fait les poches,
où l’on se grille la politesse, où l’on court après
le temps… Toujours autant d’énergie, d’humour,
et d’insolence !
Un spectacle « à pleine vapeur », nerveux, souple, drôle et très visuel.
La Croix
Tarif plein : 12€ - Tarif réduit : 8€ - Tarif groupe et moins de 12 ans : 6€
La Nacelle - Rue de Montgardé - Aubergenville
Renseignements et réservations : 01 30 95 37 76
www.lanacelle.org - www.ladanse.com/momboye
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Du 18 octobre
au 2 novembre
Tous les jours de 14h à 18h
La ligne bleue
Exposition peintures de Francis Villard
Repéré à ses débuts pour ses décors de spectacle
auprès de Robert Charlebois, Francis Villard,
l’un des principaux artistes figuratifs de notre
région, se consacre depuis à la peinture. Il présente
à l’occasion des 10 ans de Blues sur Seine
une expo bleue, alliant des créations étonnantes
de musiques et d’ambiances blues.
Entrée libre
Exposition visible du lundi au dimanche de 14h à 18h
Hospice Saint-Charles - 30 rue Nationale - Rosny-sur-Seine
Tél. : 01 30 42 91 55 - Avec la collaboration de Blues sur Seine
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Samedi 18 octobre
15h30
La Route du Triton bleu
Par la Compagnie Les Mots Tissés - Île-de-France
Création Blues sur Seine, le Colombier et le CAC G. Brassens
Avec Serge Tamas (guitare/voix), Karine Mazel-Noury (récit/
chant), Clémentine Desprez (récit/chant) et David Kpossou (harmonica/
voix)
Mise en scène : Jean-Louis Esclapès.
Entre conte et musique, La Route du Triton bleu
invite le jeune public à se plonger dans un imaginaire
inspiré du Mississippi des années 30.
Sous forme de voyage initiatique, quatre artistes
entremêlent voix et instruments pour partir sur
le chemin des racines africaines du blues. Un
jeu de rythmes et de mélodies qui navigue d’un
continent à l’autre.
Plein tarif : 7€ - Tarif réduit : 5€
À partir de 6 ans
Le Colombier - Rue de la Ferme - Magnanville
Informations et réservations : 01 30 92 70 33
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Samedi 18 octobre
20h45
Orchestre National de Barbès
Le mythique Big Band est de retour…
Depuis 11 ans les joyeux gaillards de l’ONB parcourent
le monde et conquièrent les publics avec
leur impressionnante énergie scénique et leurs
rythmes endiablés.
Tarif unique : 15€
Salle Jacques Brel - 21 rue des Merisiers - Mantes-la-Ville
Renseignements et réservations : 01 30 98 55 46 (Service
Culturel)
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Dimanche 19 octobre
De 10h à 18h
Journée portes ouvertes
Toute l’offre culturelle du Mantois en un seul et même lieu, avec
les acteurs culturels du Mantois.
Stands d’information, mini-spectacles, conférence…
ponctueront cette journée « vitrine » de
l’offre culturelle du Mantois. Un programme pour
toute la famille, avec musique classique et amplifiée,
danse, théâtre, lecture publique…
Entrée libre
École nationale de musique de danse et de théâtre
de Mantes en Yvelines - Boulevard Calmette - Mantes-la-Jolie
Tél. : 01 34 77 88 88</p>
Philippe Caubère au festival d'Avignon
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2008-08-07T16:26:25+00:00
2008-08-07T16:26:25+00:00
yves brette
Festival
:::AVIGNON:::
Extrait de "L´Epilogue à L´homme qui danse"
Théâtre du Chêne Noir.
Philippe Caubère
Ex-Nihilo, Metropolis 2008
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<object width='391' height='311'><param name='movie' value='http://php2.arte.tv/festivete/arte_player.swf?sprachwahl=fr&idvar=347-undefined'></param><param name='allowFullScreen' value='true'></param><embed src='http://php2.arte.tv/festivete/arte_player.swf?sprachwahl=fr&idvar=347-undefined' type='application/x-shockwave-flash' allowfullscreen='true' width='391' height='311'></embed></object>
Festival d'Avignon : détail du programme du in
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2008-07-15T08:28:53+00:00
2008-07-15T08:28:53+00:00
yves brette
Festival
<p>Programme</p> <p>Valérie Dréville</p>
<p>Paris</p>
<p>Gaël Baron / Nicolas Bouchaud / Charlotte Clamens /
Valérie Dréville / Jean-François Sivadier</p>
<p>Partage de midi
de Paul Claudel
Carrière de Boulbon</p>
<p>ET</p>
<p>La Divine Comédie
de Dante
Lecture (extraits) dirigée par Valérie Dréville
Cour d’honneur du Palais des papes
Avec France Culture</p>
<p>Rendez-vous avec Antoine Vitez
"La nostalgie de l'avenir"</p>
<p>Anatoli vassiliev</p>
<p>Thérèse philosophe</p>
<p>Précisions sur les vagues #2
Installation de Célia Houdart
École d’Art</p>
<p>Romeo Castellucci /
Socìetas Raffaello Sanzio
Cesena</p>
<p>Librement inspiré de La Divine Comédie de Dante :</p>
<p>Inferno
de Romeo Castellucci
Cour d’honneur du Palais des papes</p>
<p>Purgatorio
de Romeo Castellucci
Châteaublanc</p>
<p>Paradiso
de Romeo Castellucci
Église des Célestins</p>
<p>Thomas Ostermeier / Schaubühne Berlin
Berlin</p>
<p>Hamlet
de William Shakespeare
Cour d’honneur du Palais des papes</p>
<p>Mathilde Monnier / Philippe Katerine
Montpellier / Paris</p>
<p>2008 vallée
Cour d’honneur du Palais des papes</p>
<p>Joël Pommerat
Paris</p>
<p>Je tremble (1 et 2)
Opéra-théâtre</p>
<p>Guy Cassiers / Toneelhuis
Anvers</p>
<p>Wolfskers
de Jeroen Olyslaegers
Opéra-théâtre</p>
<p>Atropa
de Tom Lanoye
Opéra-théâtre</p>
<p>Ivo van Hove / Toneelgroep Amsterdam
Amsterdam</p>
<p>Tragédies romaines
Coriolan / Jules César / Antoine et Cléopâtre
de William Shakespeare
Gymnase Gérard Philipe</p>
<p>Stanislas Nordey
Rennes</p>
<p>Das System
de Falk Richter
Salle Benoît-XII</p>
<p>Arthur Nauzyciel
Orléans</p>
<p>Ordet (La Parole)
de Kaj Munk
Cloître des Carmes</p>
<p>Claire Lasne Darcueil
Poitiers</p>
<p>La Mouette
d’Anton Tchekhov
Cloître des Carmes</p>
<p>Daniel Jeanneteau & Marie-Christine Soma
Vitry</p>
<p>Feux
Rudimentaire / La Fiancée des landes / Forces
d’August Stramm
Gymnase Aubanel</p>
<p>Jan Fabre
Anvers</p>
<p>Another sleepy dusty delta day
Chapelle des Pénitents blancs</p>
<p>Alvis Hermanis
Riga</p>
<p>Sonia
de Tatiana Tolstaia
Salle Benoît-XII</p>
<p>Ricardo Bartís
Buenos Aires</p>
<p>La Pesca (La Pêche)
Châteaublanc</p>
<p>Lola Arias & Stefan Kaegi
Buenos Aires / Berlin / Lausanne</p>
<p>Airport Kids
Gymnase du lycée Mistral</p>
<p>Benjamin Verdonck
Anvers</p>
<p>Wewilllivestorm
Chapelle des Pénitents blancs</p>
<p>Virgilio Sieni
Florence</p>
<p>Osso
Gymnase du lycée Saint-Joseph</p>
<p>Philippe Quesne / Vivarium Studio
Paris</p>
<p>La Mélancolie des dragons
Cloître des Célestins</p>
<p>ET</p>
<p>L’Effet de Serge
École d’Art</p>
<p>Superamas
Paris / Vienne</p>
<p>Empire (Art & Politics)
Gymnase Gérard Philipe</p>
<p>François Tanguy / Le Théâtre du Radeau
Le Mans</p>
<p>Ricercar
Gymnase du lycée Mistral</p>
<p>autour de François Tanguy</p>
<p>Les Rendez-vous de la pirogue</p>
<p>Cirque ici / Johann Le Guillerm
Paris</p>
<p>Secret
Cour du lycée Mistral</p>
<p>Monstration & la motte</p>
<p>La Miroiterie</p>
<p>Autour de CIRQUE ICI - Johann Le Guillerm
Le Chantier des Architectures</p>
<p>Heiner Goebbels
Francfort</p>
<p>Stifters Dinge
Tinel de la Chartreuse</p>
<p>Kris Verdonck
Bruxelles</p>
<p>Variation IV
Chartreuse de Villeneuve lez Avignon</p>
<p>Les Frères Quay
Londres</p>
<p>Night Nursery
Ceux qui désirent sans fin
Hôtel de Forbin La Barben</p>
<p>Emio Greco / Pieter C. Scholten
Amsterdam</p>
<p><a href="https://www.theatre.brette.biz/cours-theatre/post/2008/07/15/purgatorio">purgatorio</a> Popopera
Cour du lycée Saint-Joseph</p>
<p>HELL
Cour du lycée Saint-Joseph</p>
<p>Olivier Dubois
Paris</p>
<p>Faune(s)
de Vaslav Nijinski /Dominique Brun, Sophie Perez / Xavier Boussiron, Christophe Honoré, Olivier Dubois
Cloître des Célestins</p>
<p>Joji Inc / Johanne Saunier & Jim Clayburgh
Bruxelles</p>
<p>Erase-E(x) parts 1,2,3,4,5,6
de The Wooster Group, Anne Teresa De Keersmaeker, Isabella Soupart, Kurt D'Haeseleer, Georges Aperghis, Johanne Saunier
Salle Benoît-XII</p>
<p>Sidi Larbi Cherkaoui
Anvers / Henan (Chine) / Londres</p>
<p>Sutra
de Sidi Larbi Cherkaoui / Antony Gormley
Cour du lycée Saint-Joseph</p>
<p>Wajdi Mouawad
Ottawa / Chambéry</p>
<p>Seuls
Gymnase Aubanel</p>
<p>La 25e heure, performances nocturnes
Guardamunt 55'
L'effet de Serge
Frans Poelstra, son dramaturge et Bach
You invited me, Don't you remember, Self service, My name is Neo (for fifteen minutes)
Jerk</p>
<p>sujets à vif, avec la Sacd
Programme A</p>
<p>Programme B
Programme C</p>
<p>Programme D</p>
<p>La Vierge rouge
Simone Weil, fragments</p>
<p>Traits d’union
27 nouvelles pièces d'Europe</p>
<p>Les Rencontres européennes des festivals d’Aix-en-Provence et d’Avignon</p>
<p>Théâtre des idées
Quels âges et nouveaux usages de la vie ?
La Divine Comédie aujourd'hui
Quel retour du spirituel ?</p>
<p>Eloge de l'amour
Un autre monde est-il possible ?
Par-delà la raison ?
Quelle politique des images ?
La place du spectateur : quelle responsabilité du regard?</p>
<p>France Culture au Festival d’Avignon</p>
<p>Cycle de musiques sacrées
en collaboration avec Musique sacrée en Avignon</p>
<p>maison jean vilar
Béjart en Avignon
Vilar, Béjart, Le bazar ! Avignon 68, et après ?</p>
<p>Les leçons de l’université d’Avignon</p>
62e festival en Avignon, ville-théâtre durant trois semaines
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2008-07-05T08:18:00+00:00
2008-07-05T08:18:00+00:00
yves brette
Festival
<p>AVIGNON (AFP) — Le Festival d'Avignon a ouvert vendredi sa 62e édition, qui fera de la cité des papes, pendant trois semaines, la capitale européenne du spectacle vivant contemporain, en compagnie de deux "artistes associés", la Française Valérie Dréville et l'Italien Romeo Castellucci.</p> <p>A quelques heures du premier lever de rideau, les organisateurs avaient écoulé 82.000 des quelque 125.000 billets mis en vente pour 35 spectacles ouverts aux vents de la création dans le domaine du théâtre, de la danse, mais aussi des arts plastiques et de la musique.</p>
<p>Lectures, performances, expositions, débats et rencontres achèveront de faire de la ville provençale, jusqu'au 26 juillet, un forum où s'expriment, parfois vivement, l'engagement des artistes et la passion du public.</p>
<p>La traditionnelle effervescence avignonnaise était encore relativement modérée vendredi puisque le "Off" a opté cette année pour des dates légèrement décalées, du 10 juillet au 2 août, même si certains des spectacles programmés dans 110 lieux par 818 compagnies débuteront et s'achèveront plus tôt.</p>
<p>Le "Off", rendez-vous sans direction artistique, qui fait office de vitrine pour les compagnies indépendantes, de marché pour les professionnels et de foire où les expérimentations les plus singulières côtoient le pire amateurisme, sera marqué par une nouvelle inflation des propositions.</p>
<p>Pour la première fois, le seuil symbolique du millier de spectacles et événements accueillis devrait être franchi.</p>
<p>Côté "In", le premier temps fort 2008 devait être, vendredi soir à la nuit tombée, la présentation de "Partage de midi" de Claudel, joué par l'actrice Valérie Dréville avec d'autres comédiens mais sans metteur en scène, dans le plein air minéral de la Carrière de Boulbon (Bouches-du-Rhône).</p>
<p>Dans la Cour d'honneur du Palais des papes, lieu emblématique du festival fondé par Jean Vilar, Romeo Castellucci donnera, lui, libre cours à son esthétique hautement visuelle à partir de samedi soir avec "Inferno", premier volet d'un triptyque inspiré de "La Divine Comédie" de Dante.</p>
<p>Les artistes du Vieux-Continent auront la part belle cette année, alors que débute la présidence française de l'Union européenne.</p>
<p>L'Allemand Thomas Ostermeier, patron de la Schaubühne de Berlin, retrouvera la Cour d'honneur pour un nouvel "Hamlet" de Shakespeare. Son successeur en tant qu'"artiste associé", le provocant chorégraphe flamand Jan Fabre, présentera "Another sleepy dusty delta day".</p>
<p>Les Belges viendront d'ailleurs en force, à l'image de Ivo van Hove pour un spectacle autour des tragédies romaines de Shakespeare, de Guy Cassiers ("Wolfskers", "Atropa") ou du chorégraphe Sidi Larbi Cherkaoui ("Sutra").</p>
<p>Le metteur en scène letton Alvis Hermanis, héritier d'un théâtre aux influences à la fois russes et germaniques, fera ses débuts au festival avec "Sonia".</p>
<p>Le Français Arthur Nauzyciel créera "Ordet (La Parole)" du Danois Kaj Munk, premier travail de la romancière Marie Darieussecq pour le théâtre.</p>
<p>Joël Pommerat développera son univers poético-théâtral avec une pièce en deux parties ("Je tremble 1 et 2"), et le Libano-Québécois Wajdi Mouawad donnera "Seuls" avant d'être propulsé à son tour "artiste associé" en 2009.</p>
<p>Le festival s'achèvera sur un ton à la fois populaire et branché avec "2008 vallée", du chanteur dandy Philippe Katerine et de la chorégraphe Mathilde Monnier, qui tenteront de donner une autre dimension, entre les murs de la Cour d'honneur, à leur très potache spectacle de "chansons chorégraphiées".</p>
<p>Texte original sur afp.google.com/article/ALeqM5giW3KfuJNSsZSVLz-dVtLD72bT9A</p>
La Compagnie de théâtre Rire en Coeurs au festival OFF d'Avignon 2008.
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2008-07-05T08:00:21+00:00
2008-07-05T08:00:21+00:00
yves brette
Festival
<p>La Compagnie de théâtre Rire en Coeurs présente Grand, beau, fort avec des yeux noirs brûlants...
au festival OFF d'Avignon 2008 du 10 Juillet au 2 Août 2008 à 19h au Théâtre l'Art en Scène 8 rue Londe 84000 Avignon</p> <p>Plan d'accés
Un endroit stratégique, à quelques pas de la célèbre rue des Teinturiers tant courue lors du festival. Une programmation éclectique qui favorise la création artistique française et belge.</p>
<p>Vous pouvez dès à présent réserver.
rirencoeurs@gmail.com</p>
<p>Tél: 06 77 19 03 25</p>
<pre></pre>
<p>Récemment créée à Montpellier, la Cie Rire en Coeurs présente une comédie enlevée et haletante, sur fond d'intrigue où tendresse, passion et rire se télescopent !</p>
<p>Emily, jeune femme virevoltante débarque chez Nicolas Dupré scénariste connu, passé de mode et alcoolique. Elle lui demande d'écrire le scénario de sa vie tumultueuse. Il a besoin d'argent, il accepte... Commence alors l'écriture en commun d'un scénario surréaliste. Une course poursuite entre ces deux êtres opposés, qui habitent la scène, ne se quittent jamais, se confrontent et se séduisent.</p>
<p>"Entre rire et émotion, le public plonge dans l'ambiance de cette intrigue défiant toute imagination."
MidiLibre
"Un petit bijou de théâtre à consommer sans modération !"
Le Dauphiné Libéré</p>
<pre></pre>
<p>Photos et bande annonce sur pagesperso-orange.fr/patricksage/live.html</p>
Festival Universcènes - théâtre universitaire européen
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2008-04-19T12:48:27+00:00
2008-04-19T12:48:27+00:00
yves brette
Festival
<p>Plus qu’un simple festival de théâtre, Universcènes vous invite à faire un voyage à travers l'Europe. Chaque spectacle sera une escale dans un nouveau pays : de l’Italie à la Pologne, en passant par l’Espagne, l’Allemagne et l’Angleterre, autant d'écritures, de cultures et d’univers à découvrir. Les étudiants seront vos guides pour parcourir une Europe théâtrale riche de ses talents, de son enthousiasme et de sa diversité. Pour vous assurer un dépaysement total, les pièces sont présentées en langue originale et pour ceux qui auraient peur d’avoir le mal du pays, pas d'inquiétudes... toutes les pièces sont surtitrées en français !</p>
<p>Un festival qui permet donc de s’évader sans quitter le fauteuil douillet d’une salle de théâtre. Prenez vos billets et partageons ensemble ce voyage… l’embarquement se fait au théâtre Sorano du 6 au 24 mai prochains.</p> <p>Le Festival Universcènes - théâtre universitaire européen - vous présentera du 6 au 24 mai 2008 sa deuxième édition. En partenariat avec l’Université Toulouse-le Mirail, le Théâtre de la Digue, et le Théâtre Sorano, il vous propose un voyage théâtral aux quatre coins de l’Europe actuelle : Allemagne, Angleterre, Espagne, Italie et Pologne.</p>
<p>Trois semaines pour découvrir le théâtre contemporain européen sous trois facettes :</p>
<p>des représentations par des Cies de l’Université de Toulouse-le Mirail, en langue originale et surtitrées en français (et pour le volet espagnol, interprétés en langues des signes)
des rencontres littéraires et des manifestations scientifiques (bords de scènes, colloques) pour approfondir la connaissance de notre Europe théâtrale.
la présentation des publications bilingues de pièces jouées.
Vous trouverez sur universcenes.eu tous les renseignements nécessaires pour satisfaire votre curiosité...</p>
<p>les 5 Compagnies partenaires
les 6 spectacles programmés
les 41 pièces éditées à ce jour
les 6 axes de recherche des laboratoires associés</p>
<p>Théâtre italien
<br /><br />
mar.6 (20h), mer. 7 (20h)
I RAGAZZI DI VIA DELLA SCALA / LES GAMINS DE VIA DELLA SCALA
d’Ugo Chiti. Cie I Chiassosi.
Spectacle en italien, surtitré en français.
<br />
<br />
Théâtre allemand
<br />
vend. 9 (16h et 21h), sam. 10 (21h)
WÖRTER UND KÖRPER / ACCORDS PERDUS
de Martin Heckmanns. Cie de la Vieille Dame.
Spectacle en allemand, surtitré en français
<br />
Théâtre
espagnol
<br />
<br />
mar.13 (20h), jeu 15 (20h), sam. 17 (21h)
LA CASA DE BERNARDA ALBA / LA MAISON DE BERNARDA ALBA
de Federico Garcia Lorca. Cie Les Anachroniques.
mer. 14 (20h), ven. 16 (21h), sam. 17 (21h)
EL LOCAL DE BERNARDETA A. / LA MAISON DE BERNARDETA A.
de Lourdes Ortiz. Cie Les Anachroniques.
Spectacles en espagnol, surtitrés en français, interprétés en langue des signes.
En alternance du 13 au 16 mai. Représentation des deux pièces le 17 mai
<br />
<br />
Théâtre
polonais
<br />
<br />
lun. 19 (20h), mar. 20 (20h)
DWOJE BIEDNYCH RUMUNOW MOWIACYCH PO POLSKU /
DEUX PAUVRES ROUMAINS PARLANT POLONAIS
de Dorota Maslowska. Cie Pollen.
Spectacle en français et en polonais, surtitré en français
<br />
<br />
Théâtre
anglais
<br />
<br />
jeu. 22 (20h), ven. 23 (21h), sam. 24 (21h)
THE UN INSPECTOR / L’INSPECTEUR DES NATIONS UNIES
de David Farr. Cie Les Soeurs Fatales.
Spectacle en anglais, surtitré en français
<br />
<br />
RENSEIGNEMENTS : contact@universcenes.eu
<br />
<br />
RESERVATION : par email ou par téléphone au 06.26.60.33.22</p>
<p>ADRESSE DES LIEUX DE LA MANIFESTATION</p>
<pre></pre>
<p>Théâtre Sorano, 35 allées Jules Guesde, Toulouse (Métro Carmes ou Palais de Justice)</p>
<p>Instituto Cervantes : 31, rue des Chalets, Toulouse (Métro Arnaud Bernard ou Jeanne d'Arc)</p>
<p>Goethe Institut : 4 bis, rue Clémence Isaure ( Métro Esquirol)</p>
<pre></pre>
<p>CALENDRIER</p>
<p>Théâtre italien / Cie I Chiassosi: I ragazzi di via della Scala, d’Ugo Chiti</p>
<p>Mardi 6 mai à 20h
Mercredi 7 mai à 20h</p>
<p>Théâtre allemand / Cie de la Vieille Dame : Worter und Korper, de Martin Heckmanns</p>
<p>Vendredi 9 mai à 16h
Vendredi 9 mai à 21h
Samedi 10 mai à 21h</p>
<p>Théâtre espagnol / Cie Les Anachroniques :</p>
<p>La casa de Bernarda Alba, de Federico Garcia Lorca</p>
<p>Mardi 13 mai à 20h
Jeudi 15 mai à 20h
Samedi 17 mai à 21h</p>
<p>El local de Bernardeta A. , de Lourdes Ortiz</p>
<p>Mercredi 14 mai à 20h
Vendredi 16 mai à 21h</p>
<p>Théâtre polonais / Cie Pollen : Dwoje biednych Rumunow mowiacych po polsku, de Dorota Maslowska</p>
<p>Lundi 19 mai à 20h
Mardi 20 mai à 20h</p>
<p>Théâtre anglais / Cie Les Sœurs Fatales : The UN Inspector, de David Farr</p>
<p>Jeudi 22 mai à 20h
Vendredi 23 mai à 21h
Samedi 24 mai à 21h</p>
<p>Colloque « La notation informatique du personnage de théâtre » :</p>
<p>Vendredi 16 et samedi 17 mai, toute la journée.</p>
Festival Jeunes zé jolie ! à Mantes
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2008-04-18T09:05:50+00:00
2008-04-18T09:05:50+00:00
yves brette
Festival
<p>Place à la création et à la jeunesse !
Le Collectif 12 accueille depuis quelques mois 4 jeunes compagnies de théâtre et de danse en résidence : Le T.O.C (Théâtre Obsessionnel Compulsif) , le Collectif Sur Une Patte, la Cie UNtm et le Collectif F71 leur permettant ainsi d’initier, d’expérimenter et de créer des spectacles. Du 15 au 17 mai ces jeunes compagnies présenteront le fruit de leur recherche sous la forme de spectacles et de performances au Collectif 12. Et pour comprendre la vie des compagnies aujourd’hui et parler de leur avenir, un débat est prévu le vendredi 16 à 15h20 avec des représentants d’institutions, de syndicats et de structures de diffusion : sujet sur lequel les « jeunes » compagnies ont des questions concrètes et vitales.</p> <p>Jeunes Zé Jolie<br /></p>
<p><br />
Un festival de jeunes compagnies de théâtre et de danse
du jeudi 15 au samedi 17 mai 2008</p>
<hr />
<pre></pre>
<p>Jeudi 15 mai
<br /></p>
<pre></pre>
<p><br />
18h30 Inauguration du festival
<br />
19h30 Manifeste pour un théâtre Merz de Kurt Schwitters / le T.O.C
<br />
Dadaïste de la première heure, Kurt Schwitters fut à la fois sculpteur, graphiste et typographe, poète, plasticien et homme de théâtre. La performance de la compagnie restitue ici la tentative à la fois sonore et plastique de l'oeuvre de cette personnalité singulière et complète, tout en en indiquant les limites et les impossibilités.</p>
<pre></pre>
<p>20h30 Foucault 71 – Episode 0 / Collectif F71
<br />
A partir de documents issus directement de l'oeuvre de Foucault, ou périphériques (archives sonores, manuscrites, visuelles), le Collectif F71 a axé son travail sur la parole publique.
L'Episode 0, à la manière d'une chronique, dresse un portrait du militantisme des intellectuels de l'après-mai 68 et donne l'occasion d'explorer les propres questionnements de la compagnie sur la société.</p>
<pre></pre>
<hr />
<pre></pre>
<p>Vendredi 16 mai
<br />
15h Performance du Collectif Sur Une Patte
<br />
15h30 Débat sur la situation actuelle des compagnies et leur avenir
Avec des représentants d’institutions, de syndicats, de structures de diffusion, des compagnies…</p>
<p>18h Performance du Collectif F71</p>
<p>18h45 Manifeste pour un théâtre Merz de Kurt Schwitters / le T.O.C</p>
<pre></pre>
<p>20h30 MC2 (Minimal Connotatif) / Cie UNtm
<br />
<br />
MC2, c'est un poème aux choses qui tentent d'être ce qu'elles sont, aux instances du spectacle qui refusent d'avoir une raison utile d'être là et surtout d'être là pour renvoyer à quoi que ce soit, un minimalisme amoureux de l'immanence, du théâtre, du vivant.</p>
<pre></pre>
<hr />
<pre></pre>
<p>Samedi 17 mai</p>
<pre></pre>
<p>15h30 Performance de la Cie Untm
<br />
16h Turandot ou le Congrès des blanchisseurs de Bertolt Brecht / le T.O.C
<br />
<br />
Dans Turandot, l'empereur convoque les Tuis (les In-Tellect-Uels) lors d'un grand congrès afin qu'ils justifient auprès du peuple une brusque dévaluation du coton dans une impropable Chine de comédie. Bertolt Brecht s'interroge sur le phénomène de la langue de bois et sur l'inefficacité de la pensée intellectuelle dans une société capitaliste décomplexée.</p>
<pre></pre>
<p>18h30 Performance du Collectif F 71
<br />
<br />
20h30 Aïe Buster ! / Collectif Sur Une Patte
<br />
Sur Une Patte... rassemble quatre danseuses, cinq musiciens, un scénographe et un vidéaste autour de l'image de Buster Keaton et de son cinéma, pour un spectacle bien vivant, dans lequel le burlesque se cache et laisse apparaître des corps fantômes, le réel frise l'iréel, l'espace scénique se déforme et se retourne pour répondre à l'oeil de la caméra qui ne tient pas en place.</p>
<pre></pre>
<p>INFOS PRATIQUES
<br />
Tarif journée : 5 € / Pass 3 jours : 12 €
<br />
Un retour Mantes/Paris en bus les 16 et 17 mai + une assiette + des spectacles : 15 €</p>
<p>réservations indispensable pour le bus
au 01 30 33 22 65</p>
<pre></pre>
<p>Collectif 12 Friche A. Malraux
174 bd du Maréchal Juin 78200 Mantes-la-Jolie</p>
<p>Renseignements et réservations :
01 30 33 22 65
www.collectif12.org
http://jeunes-ze-jolie.blogspot.com</p>
<pre></pre>
<p>Comment venir ?
En voiture de Paris :</p>
<p>Autoroute A13, sortie 12 (Mantes sud), puis prendre à droite bld Salengro. Continuer tout droit et traverser la voie de Chemin de fer
Continuer tout droit ( avenue du Général Leclerc)
Au Carrefour 300 mètres plus loin, prendre à gauche: vous êtes sur le bd du Maréchal Juin.</p>
<pre>En train de Paris:</pre>
<p>Gare Saint-Lazare
arrêt : Gare de Mantes la Jolie.
Direct : 30 minutes
Via Poissy : 1 heure.
Puis de la Gare au Collectif 12 : En sortant de la gare, prendre à gauche, pui continuer tout droit et prendre la 1ère à droite (rue E. Zola). Au carrefour prendre à gauche et vous êtes sur le Bd ! (7 min. à pied)</p>
<pre></pre>
Un festival de théâtre pour lui seul : c'est le privilège d'Eric-Emmanuel Schmitt, cette semaine à Evian
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2008-02-27T11:28:54+00:00
2008-02-27T11:28:54+00:00
yves brette
Festival
<p>Eric-Emmanuel Schmitt ou le théâtre de l'empathie</p> <p>ENTRETIEN | 00h34 Un festival de théâtre pour lui seul: c'est le privilège d'Eric-Emmanuel Schmitt, cette semaine à Evian. Plus La tectonique des sentiments jouée à Paris et un nouveau recueil de nouvelles,
La rêveuse d'Ostende.</p>
<p>TOUS AZIMUTS: Eric-Emmanuel Schmitt, joué dans le monde entier, explique son succès par sa façon de faire réfléchir en divertissant, répondant au besoin de spiritualité du public avec un certain optimisme.</p>
<p>JEAN-LOUIS KUFFER | 26 Février 2008 | 00h34</p>
<p>Eric-Emmanuel Schmitt est aujourd'hui l'un des meilleurs «vendeurs» de la scène littéraire française, taxé d'auteur francophone le plus lu dans le monde en 2003, et multipliant les succès par ses livres, traduits en plus de 30 langues, autant que par les représentations théâtrales et les films qui en sont tirés l'Académie française lui ayant décerné son Grand Prix de théâtre pour l'ensemble de son oeuvre. Limpidité de l'expression, primat de l'imaginaire et de l'émotion appliqués à des situations humaines universelles, optimisme existentiel sur fond de quête spirituelle: tels sont quelques-uns des atouts de l'auteur.</p>
<pre></pre>
<p><br />
<br />
Des huit pièces données à Evian, pourriez-vous dégager un caractère commun?</p>
<p><br />
Le fait que mes pièces soient jouées dans une cinquantaine de pays me permet d'évaluer ce qui en est apprécié: un mélange de divertissement et de réflexion. J'aime raconter des histoires qui aient un sens, avec des personnages que je ne juge pas. Je ne fais pas de théâtre à thèse même si je pose des questions. Dans Oscar ou la dame rose, j'ai abordé ainsi le tabou de la maladie mortelle de l'enfant, mais la pièce a touché les publics du monde entier par l'acceptation de la vie qu'elle illustre. Mon théâtre reste accessible à chacun, jouant sur la simplicité et le sérieux, si possible non affiché. Voltaire disait qu'une histoire drôle doit être courte, et je dirais qu'il en va de même d'une histoire sérieuse...
<br />
<br />
Comment l'idée de La tectonique des sentiments vous est-elle venue?</p>
<p><br />
<br />
Par l'histoire de Madame de la Pommeraye, dans Jacques le fataliste de Diderot, qui entreprend de se venger. Or je voulais aller au-delà de la vengeance d'une femme: dans une sorte de parcours initiatique où elle découvrirait les impasses de la passion et de l'orgueil. J'ai personnellement une grande méfiance à l'égard de la passion, fondée sur l'expérience, et c'est ce que je voulais montrer: ce tumulte de gens qui aiment ou croient aimer, et se blessent en aimant mal.
<br />
<br />
Comment construisez-vous vos personnages?</p>
<p><br />
<br />
Par empathie. Ce ne sont pas des marionnettes que je manipule, mais des individus que j'essaie de comprendre comme des clients de bistrots que j'écouterais parler de leur vie. Cela fait un peu «bateau» de dire qu'on est «l'écoute de ses personnages, mais c'est bel et bien comme ça que je vis, un peu comme une éponge à la Simenon, un auteur que j'aime pour sa façon de faire de la littérature qui se moque de la littérature. Le grand écrivain égyptien Naguib Mahfouz m'a dit un jour qu'il se nourrissait lui aussi de tout ce qu'il entendait dans les cafés et les rues du Caire: ce qu'on pourrait dire la voix de l'humanité.
<br />
<br />
Tant dans La tectonique des sentiments que dans La rêveuse d'Ostende, vous réservez de beaux rôles à de vieilles dames...</p>
<p><br />
<br />
C'est vrai que les vieilles personnes ont parfois beaucoup à nous apprendre, alors que la société actuelle tend à les oublier, et je suis très sensible au fait qu'elles sont souvent dépositaires d'un secret. Or cela aussi est un aspect que je déplore aujourd'hui qu'on n'en finisse pas de se confesser en public et de se livrer à tous les déballages, sans respect du vrai secret de chacun.</p>
<p><br />
<br />
Texte original sur 24heures.ch</p>
"Allons au théâtre" à Casablanca. Festival du du 6 au 16 mars
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2008-02-27T11:24:16+00:00
2008-02-27T11:24:16+00:00
yves brette
Festival
<p>Le Festival "Allons au théâtre" aura lieu du 6 au 16 mars à Casablanca, a annoncé lundi soir l'organisateur, la Fondation des arts vivants (Fav).</p> <p>Ce Festival entièrement dédié à la promotion du théâtre et des arts vivants marocains a pour vocation d'animer les théâtres casablancais et d'inviter le public à s'y rendre en masse.</p>
<p>La programmation de cette année est variée et s'adresse à tous les publics, enfants et adultes. Elle comporte des pièces en arabe dialectale et en langue de Molière. Tous les genres seront à l'affiche, entre autres, le théâtre populaire, le théâtre moderne, le burlesque ou encore des spectacles de marionnettes comme cette pièce "Nouâamane et la pêche géante" par la troupe de théâtre El Fanous, d'après "James et la grosse géante" de l'auteur britannique Road Dahal que les critiques sont pratiquement unanimes à désigner comme étant le meilleur écrivain pour les enfants.</p>
<p>Parmi les représentations à voir lors de cette 3e cette édition, "Histoire d'amour en 12 chansons, 3 repas et un baiser", une mise en scène de Faouzi Bensaïdi produite par la Fav ou encore "El Fijta" par la troupe du théâtre régional de Rabat, une mise en scène de Mohamed Zouhaïr, d'après une adaptation de "la noce chez les petits Bourgeois" de Bertolt Brecht. Et aussi d'autres adaptations de Molière, de Brecht ou encore Marc Camoletti : Au total, une dizaine de représentations qui seront données au théâtre du complexe culturel d'Anfa, au théâtre Touria Sekkat, au théâtre Mohammed VI et à la Prison civile de Oukacha.</p>
<p>Outre les représentations, la Fondation prévoit des ateliers d'écriture dramatique animés par l'écrivain et journaliste Driss Kiskes, des rencontres avec la troupe Dabateatr et deux autres ateliers sur les "Jeux de comédiens et mise en scène" et "l'initiation à la vidéo interactive".</p>
<p>La Fondation des arts vivants ambitionne de réhabiliter l'art théâtral au sein de la société et de populariser sa pratique. Elle contribue aussi à promouvoir une création exigeante, belle et plaisante et à faire partager les expériences d'ici et d'ailleurs. Son ambition est de relier le théâtre aux arts vivants, entre autres, la danse et musique, et ce, pour inscrire le théâtre dans une nouvelle dynamique et jeter des ponts entre les arts.</p>
<pre></pre>
<p>Par MAP</p>
<p>Tous ceux qui ont la nostalgie du bon vieux temps peuvent ainsi retrouver leurs bonnes habitudes et passer des moments de plaisir devant les scènes ressuscitées de la ville. Organisé par la Fondation des arts vivants, le festival lance encore une fois une invitation ouverte au public et promet une programmation de choix pour sa troisième édition.
Le récent événement s'ouvre au public jeun et adulte en essayant d'attirer les spectateurs vers les salles devenues désertes depuis quelques temps. Ils auront ainsi l'opportunité d'apprécier des spectacles de théâtre et d'arts vivants fraîchement produits et de découvrir par la même occasion des talents peu connus.</p>
<p>L'événement qui a nécessité une enveloppe budgétaire de 960.000 dhs invite le public à cette grande fête sans toutefois tomber dans le piège de la gratuité. Les billets qui sont à 20 dhs pour adultes et 10 dhs pour enfants et étudiants expriment bien la philosophie de cette initiative : Payer pour consommer de l'art!
Faisant de la promotion du théâtre et de ses talents un de ses objectifs majeurs, «Allons au théâtre» propose pour sa troisième édition un programme alléchant.
On y trouve des pièces pour tous les goûts. En arabe ou en français, le menu touche à tous les genres. Du théâtre populaire au théâtre moderne en passant par le burlesque et le spectacle vivant, les soirées du festival seront faites de découverte et de plaisir. Les artistes venant des quatre coins du Maroc seront au rendez-vous pour donner 14 représentations au théâtre du Complexe culturel d'Anfa et le théâtre Touria Sekkat.</p>
<p>Les amateurs des arts vivants seront bien servis avec le spectacle «Taoub» que donnera la troupe acrobatique de Tanger. Une production qui a fait le tour des grands théâtres en France, en Espagne et en Angleterre. Une belle découverte défile à l'horizon. Une note sociale avec la pièce engagée «violencsène» axée sur les témoignages de mères célibataires. Une façon artistique de fêter la journée mondiale de la femme. La pièce à succès de Faouzi Bensaïdi «Histoire d'amour en 12 chansons, 3 repas et un baiser» est également de la partie.
Tous ceux qui n'ont pas eu l'occasion de la voir auparavant, pourront se racheter et apprécier enfin la pièce qui a marqué le grand retour du cinéaste à ses premières amours. La coproduction entre la fondation des arts vivants et la troupe de théâtre Marrakech «Kif touier tare», les pièces «Fijta» «Iaâlane Fi Journane», «Bacha Hamou», «Alloula et la Effrita», «L'clown Mcha», «Bladi.</p>
<p>Mon pays» et bien d'autres productions et adaptations du théâtre mondial sont au programme de cette célébration du Père des arts.
En plus des représentations, la Fondation des arts vivants programme cette année différents ateliers d'écriture dramatique animés par l'écrivain Driss Kiskes. Ceci en plus de deux ateliers intitulés "Jeu de comédiens et mise en scène" et "l'initiation à la vidéo interactive".</p>
<hr />
<p>La fondation des arts vivants
Cette fondation ambitionne de réhabiliter l'art théâtral au sein de la société, de populariser sa pratique et d'en faire un carrefour des expressions multiculturelles dui Maroc.
Elle contribue également à encourager une création exigeante et plaisante et à faire partager les expériences d'ici et d'ailleurs afin de renforcer la place du Maroc dans l'agenda du théâtre international.
Parmi ses objectifs principaux celui de relier le théâtre aux autres arts vivants (danse, musique, cirque, performance) en l'inscrivant dans sa dynamique nouvelle et en jetant les ponts entre les arts. La fondation aspire également à mettre en place un espace de dynamisation de la création théâtrale, ouvert sur les expériences artistiques diverses.</p>
<p>Pour atteindre ses objectifs, elle participe activement à la production théâtrale à travers des travaux de qualité et organise des rendez-vous de théâtre annuels, nationaux et internationaux. Elle lance également des cycles de formation et favorise la création de réseaux autour du théâtre. La Fondation est domiciliée au Complexe culturel d'Anfa à Casablanca et ses actions intègrent d'autres lieux : théâtres, écoles, lycées, universités, associations, quartiers populaires et autres espaces publics.</p>
<pre></pre>
<p>Par Hayat Kamal Idrissi |</p>
<p>Texte original sur : LE MATIN.ma</p>
Les Francos - festival de theatre biennal des arts de la scène pour les jeunes publics
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2008-01-13T09:13:49+00:00
2008-01-13T09:16:37+00:00
yves brette
Festival
<p>Comme précisé sur le billet <a href="http://www.theatre.brette.biz/blog/2007/06/24/108-calamity-jane" hreflang="fr">francophonies théâtrales 2008</a>, nous sommes associés à la compagnie du <a href="http://www.theatre.brette.biz/blog/2007/11/11/164-theatre-du-mantois" hreflang="fr">Théâtre du Mantois</a> pour la création <a href="http://www.theatre.brette.biz/blog/2007/11/11/162-calamity-jane-lettres-a-sa-fille" hreflang="fr">Calamity Jane, lettres à sa fille</a> associant musique, théâtre et chant.
<br />
<br />
Rappelons qu'il s'agit, du 28 mars au 11 avril 2008, de la 10ème édition des Francos, festival biennal des arts de la scène pour les jeunes publics. Ce festival a pris, en 2006, la suite des « Francophonies théâtrales pour la jeunesse » créées en 1990. Il propose tous les 2 ans une quinzaine de spectacles de théâtre ainsi que de théâtre d’objet, de théâtre d’ombre, de danse… programmés dans une dizaine de communes du Mantois et du Val de Seine dont Mantes la Jolie, Mantes la Ville, Magnanville, Buchelay, Rosny sur seine, Les Mureaux, Limay...
<br />
Nous ne manquerons pas de vous tenir informés du programme complet dès que nous en aurons connaissance.</p>
Avignon
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2007-07-29T07:00:48+00:00
2007-07-29T07:00:48+00:00
yves brette
Festival
<p>Qu'est-ce que c'est ?</p> <p>Le Festival d'Avignon à 60 ans
<br />
Avignon entre en scène. Le plus grand festival des arts vivants contemporains fête cette année son 60e anniversaire, avec du théâtre, de la danse, des expositions, des débats et des lectures.</p>
<pre></pre>
<p>Jusqu'au 27 juillet, la Cité des Papes accueillera la 61e édition du Festival d'Avignon. Né au lendemain de la guerre, le Festival fête cette année ses 60 ans. En 1947, le poète René Char présente le dramaturge Jean Vilar à Christian et Yvonne Zervos, un couple de collectionneurs d'art. Ensemble, ils créent la "Semaine d'art" en Avignon. C'est ainsi que naît le premier Festival dans la France d'après-guerre en pleine reconstruction.</p>
<p>Une dimension historique imprègnera cette année le Festival. Les artistes d'aujourd'hui (Valère Novarina, Rodrigo Garcia, Gildas Milin...) se nourriront des auteurs engagés d'hier (René Char, Céline, Paul Claudel...). Et c'est sur les mots de René Char, "L'acte est toujours vierge, même répété", (extraits des "Feuillets d'Hypnos") qu'Hortense Archambault et Vincent Baudriller, directeurs du Festival d'Avignon, inaugurent cet événement majeur de la vie théâtrale française.</p>
<p>Une ouverture en prose</p>
<p>Toujours le même crédo, jamais le même programme. Le Festival, qui a toujours défendu et reflété la création théâtrale contemporaine, met cette année l'écriture à l'honneur. Frédéric Fisbach, artiste associé de cette édition, ouvre le festival avec une reprise de son travail sur les "Paravents" de Genêt, au Théâtre Municipal. Ce grand classique remanié sera suivi de "Nord", une adaptation du texte de Louis-Ferdinand Céline, par le metteur en scène allemand Frank Castorf (à 21h30, dans la cour du lycée Saint-Joseph). Autre représentation très attendue, " Bleue, Saignante, à point ", de l'auteur argentin Rodrigo Garcia qui se jouera le 6 juillet à 22h, dans le cloître des Carmes.</p>
<p>40 spectacles dans 20 lieux différents</p>
<p>Le Festival se déploie dans le temps et dans l'espace. Les visiteurs, toujours plus nombreux (100 000 visiteurs au moins chaque année), pourront assister à une quarantaine de spectacle en Avignon et alentours. Pour toujours plus d'originalité, le théâtre sort de ses murs : cloîtres, églises, Palais des Papes, carrière de pierre, jardins, gymnases… En tout plus de 20 lieux non conventionnels serviront de décor aux spectacles. Parallèlement, le Festival "off" présente, sur plus de 200 scènes, le travail de troupes françaises et internationales.</p>
<p>Les grands moments du Festival</p>
<p>"L'Acte inconnu", de Valère Novarina (du 7 au 12 juillet, cour d'Honneur).
"Les feuillets d'Hypnos", de René Char, mis en voix par Frédéric Fisbach (du 15 au 17 juillet, cour d'Honneur).
"Le roi Lear", de Shakespeare, mis en scène par Jean-François Sivadier (21 au 27 juillet, cour d'Honneur).
"Nord", mis en scène par Frank Castorf (du 6 au 8 juillet, lycée S-Joseph).
"Bleu Saignante à point", de Rodrigo Garcia (du 6 au 13 juillet, cloître des Carmes).
"L'Echange", de Paul Claudel, mis en scène par Julie Brochen (du 8 au 18 juillet, cloître des Célestins).
"Les Ephémères", l'intégrale mise en scène par Ariane Mnouchkine, avec la troupe du Théâtre du Soleil (du 14 au 25 juillet, Chateaublanc).
"Le Silence des communistes", de Jean-Pierre Vincent (du 8 au 16 juillet, salle de Champfleury).
"Machine sans cible", de Gildas Milin (du 10 au 21 juillet, Chartreuse).</p>
Et dans le In...
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2007-07-29T06:57:51+00:00
2007-07-29T07:02:54+00:00
yves brette
Festival
<p>vous avez vu quoi ?...</p> <p>Frédéric Fisbach</p>
<p>Feuillets d’Hypnos
de René Char</p>
<p>Les Paravents
de Jean Genet</p>
<p>et
autour de Frédéric Fisbach</p>
<p>Valère Novarina</p>
<p>L’Acte inconnu</p>
<p>et
autour de Valère Novarina</p>
<p>Christine Dormoy / Valère Novarina</p>
<p>Ajour
de Valère Novarina</p>
<p>Jean-François Sivadier</p>
<p>Le Roi Lear
de William Shakespeare</p>
<p>Ludovic Lagarde / Peter Verhelst</p>
<p>Richard III
de Peter Verhelst
librement adapté de Richard III de William Shakespeare</p>
<p>et
autour de Ludovic Lagarde/Peter Verhelst</p>
<p>Frank Castorf / Volksbühne</p>
<p>Norden (Nord)
Une grandguignolade de Frank Castorf d´après Louis-Ferdinand Céline</p>
<p>et
autour de Frank Castorf</p>
<p>Guy Cassiers/Tom Lanoye/Het Toneelhuis</p>
<p>Mefisto for ever
de Tom Lanoye
librement adapté de Mephisto de Klaus Mann</p>
<p>et
autour de Guy Cassiers/Tom Lanoye</p>
<p>Théâtre du Soleil / Ariane Mnouchkine</p>
<p>Les Éphémères
Intégrales : Recueils 1 & 2</p>
<p>Sasha Waltz</p>
<p>insideout</p>
<p>Raimund Hoghe</p>
<p>36, Avenue Georges Mandel</p>
<p>Jean-Pierre Vincent</p>
<p>Le Silence des communistes
d’après Vittorio Foa, Miriam Mafai, Alfredo Reichlin</p>
<p>Faustin Linyekula / Studios Kabako</p>
<p>Dinozord : The Dialogue Series III</p>
<p>Le Festival des mensonges</p>
<p>Fumiyo Ikeda / alain platel / benjamin verdonck</p>
<p>nine finger</p>
<p>Rodrigo García</p>
<p>Cruda. Vuelta y vuelta. Al punto. Chamuscada
(Bleue. Saignante. À point. Carbonisée.)</p>
<p>Approche de l’idée de méfiance</p>
<p>Pierre Henri</p>
<p>Objectif Terre</p>
<p>Mathieu Bauer / Sentimental Bourreau</p>
<p>Tendre jeudi
d’après Tendre jeudi de John Steinbeck</p>
<p>et
autour de Mathieu Bauer/Sentimental Bourreau</p>
<p>Superamas</p>
<p>big 3rd episode</p>
<p>High Art</p>
<p>Julie Brochen / Théâtre de l'Aquarium</p>
<p>L’Échange
de Paul Claudel</p>
<p>Krzysztof Warlikowski</p>
<p>Angels in America I&II
de Tony Kushner</p>
<p>Christophe Fiat</p>
<p>La jeune fille à la bombe</p>
<p>et
autour de Christophe Fiat</p>
<p>Éléonore Weber</p>
<p>Rendre une vie vivable n’a rien d’une question vaine</p>
<p>Socìetas Raffaello Sanzio/ Romeo Castellucci</p>
<p>Hey girl !</p>
<p>Dieudonné Niangouna / Les Bruits de la rue</p>
<p>Attitude clando</p>
<p>et
autour de Dieudonné Ninagouna</p>
<p>cycle de lectures : jeunes auteurs en Afrique</p>
<p>Galin Stoev / Ivan Viripaev</p>
<p>Genèse N° 2
d'Antonina Velikanova et Ivan Viripaev</p>
<p>et
autour de Galin Stoev/Ivan Viripaev</p>
<p>Gildas Milin</p>
<p>Machine sans cible</p>
<p>et
autour de Gildas Milin</p>
<p>Robert Cantarella</p>
<p>Hippolyte
de Robert Garnier</p>
<p>et
autour de Robert Cantarella</p>
<p>Alexis Forestier</p>
<p>claire
de René Char</p>
<p>et
autour d'Alexis Forestier</p>
<p>agnès Varda</p>
<p>hommages aux justes de france</p>
<p>je me souviens de jean vilar en Avignon</p>
<p>Et aussi</p>
<p>Le Théâtre des idées</p>
<p>Auteurs en scène / en collaboration avec la Sacd</p>
<p>Le Sujet à vif / en collaboration avec la Sacd</p>
<p>France Culture au Festival d’Avignon</p>
<p>Cycle de musiques sacrées / en collaboration avec Musique sacrée en Avignon</p>
<p>Cycle de films / en collaboration avec le cinéma Utopia
(informations à compléter début juillet)</p>
<p>Maison Jean Vilar</p>
<p>Collection Lambert en Avignon</p>
<p>Musée Calvet</p>
<p>Hôtel de Campredon - Maison René Char</p>
<p>l'été des hivernales</p>
<p>Les XXXIVe rencontres d'été de la chartreuse</p>
Le off d'Avignon, vous y étiez ?
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2007-07-29T06:54:24+00:00
2007-07-29T10:20:48+00:00
yves brette
Festival
<p>Revue de presse...</p> <p>LES AVENTURES EXTRAORDINAIRES DU BARON DE MUNCHHAUSEN</p>
<p>Comédie adaptée du récit de Rudolf Erich Raspe, mise en scène de Hacid Bouabaya avec Dominique Langlais, Bernard Debreyne, Marie Liagre, Barbara Monin et Hacid Bouabaya (Compagnie joker).</p>
<p>"Les aventures extraordinaires du Baron de Munchausen" fait partie de ces spectacles dont on ressort ravi, avec la satisfaction du spectateur rassasié, les yeux, les oreilles encore plein de bruits et d’émerveillement. Et avec le besoin irrépressible d’en parler, de partager l’expérience tout en s’appesantissant avec délice sur nos moments préférés.</p>
<p>Le Baron de Münchausen accompagné de sa troupe nous emmène faire un incroyable voyage au pays de l’imaginaire et de la fantaisie. Un spectacle qui remet sur le devant de la scène le théâtre de tréteaux à travers quatre tableaux pleins d’inventions et d’ingéniosités scénographiques.</p>
<p>On guette avec une gaieté enfantine les émotions se créer sur les visages des comédiens, les mimiques se dessiner. Amuser par les gestes n’est pas chose aisée, ici, le moindre d’entre eux, même attendu, déclenche le rire.</p>
<p>Les cinq comédiens font surgir devant nous des décors de leur roulotte brinquebalante. Au service du Baron, ils mettent en scène ses pérégrinations rocambolesques et le public découvre en même temps que ses histoires trépidantes celle de cette troupe qui s’affaire, s’affublant de costumes parfois ridicules, montant et démontant un décor sans cesse renouvelé… Du palais du Sultan au ventre d’une baleine en passant par l’antre d’Héphaïstos, les planches, les mâts, les tissus se retournent, se déplient, se transforment et nous conduisent d’une histoire à l’autre.</p>
<p>Et on retrouve ce plaisir, cette délectation de voir devant soi se créer un décor à partir d’éléments épars comme dans un tour de magie extraordinaire.</p>
<p>Dire qu’on est émerveillé et que l’on part réellement faire un voyage avec eux, même si cela relève du lieu commun, trouve un véritable sens avec ce spectacle où ce baron déjà mûr, monte jusqu’à la Lune, tombe dans un volcan et malmène sa petite troupe hilarante.</p>
<p>Mais ce serait sacrilège de révéler les ressorts de ce petit bijou émaillé d’humour et de poésie. Aller voir la pièce reste définitivement la seule solution !</p>
<p>CC</p>
<p>afc. Publié le jeudi, 26 juillet 2007</p>
<hr />
<p>Debout parmi les étoiles</p>
<p>Froggy's delight - www.froggydelight.com</p>
<p>Spectacle de danse, chorégraphie de Nadine Brulat avec Etienne Berthelot, Félix Cordonnier, Jérémy Deshoux, Benoît Fauchier, Romain Hinault, Marie Jarnet, Rémi Leblanc-Messager, Arthur Letertre, Anouck Montreuil, Marion Pinsard, Marion Rapilliard et Camille Visage (Compagnie Hors Mots) au Théâtre Golovine .</p>
<p>Obscurité. Un bruit de vent. La pluie... Puis la voix de Léo Ferré dans le noir. Immortelle et tellement émouvante. Des silhouettes bientôt découpent l'espace, deux torches pour seul éclairage. Ils sont douze jeunes rennais tout de noir vêtus, explosant sur le plateau vide l'un après l'autre. Une fois rassemblés, droits et dignes ils se présentent au public pour perpétuer l'oeuvre du maître.</p>
<p>Et c'est soudain une adresse à Baudelaire qu'on entend. De poète à poète. Le grand Léo évoque la solitude de l'artiste, "la musique de la solitude ". Les danseurs prennent le relais, se répondent avec les mots du poète puis soudain les interprètent avec leurs corps. C'est simple, habité et terriblement poignant. Des bras tracent des lignes, des jambes des cercles, dessinant l'espace de formes géométriques ou partent sur des impulsions, souffle court, avec une agilité et une grâce animale.</p>
<p>Il y a des fulgurances de génie dans ce spectacle. Et les douze sont tous beaux. De cette beauté de ceux qui ont fait des sacrifices pour toucher leur rêve du bout des doigts. Il y a là montré les rivalités d'un groupe, les séparations, l'amour, la tristesse parfois; des choses qu'on quitte, le voyage vers sa vie d'adulte, un chemin qui se peint pour vivre ses songes...</p>
<p>Tout est dit gestuellement, mais c'est suffisamment fort. Les moments de tension succèdent au calme et c'est un feu d'artifice d'énergie. On ressent un groupe compact et soudé. Ils ne jouent pas : ils sont. Simplement ça. Ferré est ressuscité et des artistes sont en train de naître devant nos yeux émerveillés par cette grande pureté.</p>
<p>Le spectacle est court mais extraordinaire d'émotion, de beauté et d'humilité. Il est à l'image de ces jeunes danseurs convaincants et bien au dessus de ce monde. Tous ont commencé la danse au collège avec ce groupe, il y a quelques années. C'est leur premier Avigon et ils appréhendaient d'être à la hauteur.</p>
<p>Avec l'aide de la "Légende" Ferré et du très grand talent de la chorégraphe Nadine Brulat ( par ailleurs leur professeur depuis le début), le pari est largement gagné : ils sont tout là-haut , flottant au dessus de la Cité des Papes, quelque part parmi les étoiles dont ils font partie...</p>
<p>Nicolas Arnstam.</p>
<p>afc. Publié le jeudi, 26 juillet 2007</p>
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<p>Douze danseurs rennais sur le pont en Avignon</p>
<p>Ouest France - mercredi 25 juillet 2007</p>
<p>Ces douze jeunes rennais, issus du collège des Ormeaux, dansent dans la jungle du « off » du festival où leur esprit d'équipe s'avère bien utile.
12h45. Est-ce bien raisonnable comme horaire pour un spectacle de danse ? Ailleurs, non. En Avignon, si Parce qu'au théâtre Golovine, où dansent les jeunes Rennais jusqu'à samedi, il y a du monde derrière et même devant sept compagnies. Au total se produisent quotidiennement dans ce petit theâtre, blotti dans une ruelle, juste derrière le Palais des Papes. C'est la règle en Avignon, un petit côté « abattage », entre joyeux bazar et impitoyable jungle theâtrale.
Lire la suite.</p>
<pre></pre>
<p>afc. Publié le jeudi, 26 juillet 2007</p>
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<p>Le théâtre itinérant s'ancre dans la cité cardinalice</p>
<p>VILLENEUVE-LEZ-AVIGNON / Un bilan très positif pour cette nouvelle édition</p>
<p>L'édition 2007 de "Villeneuve en Scène" prouve que le festival villeneuvois a acquis ses lettres de noblesse et a su imposer son originalité face au grand frère avignonnais. Après une première semaine en demi-teinte (la cause étant une météo défavorable qui a également pénalisé le Festival off), "Villeneuve en Scene" a trouvé son rythme avec près de 8 000 spectateurs par jour ce qui correspond à un taux de remplissage de 50 % de la jauge totale (16 000 places). Frédéric Poly, le directeur artistique et toute son équipe peuvent donc se montrer satisfaits.
Lire la suite.</p>
<p>afc. Publié le jeudi, 26 juillet 2007</p>
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<p>Farid Omri dans le Off</p>
<p>Le Progrès - mardi 24 juillet 2007</p>
<p>En habitué du festival, Farid Omri a choisi une nouvelle fois le théâtre le Paris et sa pièce fétiche. Elle veulent toutes des bébés (grand succès l'an dernier). Avec le même enthousiasme, l'humoriste de Saint-Chamond entre chaque jour en scène à 19h30 aux côtes de Corinne Codignoto et Kaya Bertie. Le public est comblé. II faut dire que l'homme a du métier. Que de chemin parcouru depuis des débuts timides dans les années 1990 ou Farid rêvait de devenir chanteur et a decouvert son talent dans un atelier d'improvisation. Aujourd'hui, le public en redemande. Sa compagnie, le Moino kosto, n'a pas moins de trois pièces à l'affiche cette année du festival « off » d'Avignon Farid Omri est en scène avec Laetitia Giorda dans Couscous aux lardons toujours au Paris. Une performance pour l'humoriste qui, a peine sorti sa première pièce, endosse un autre personnage. La troisieme pièce de la compagnie se joue dans le même lieu mais là Farid est absent. Ce sont trois femmes qui sont sur le plateau pour une comédie de Cloé Zilberstein : Un homme viite.
Jusqu'au 28 juillet. Réservations : 04 90 14 02 07</p>
<p>afc. Publié le jeudi, 26 juillet 2007</p>
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<p>Mesguich, en quelques mots</p>
<p>Sud Ouest - samedi 21 juillet 2007</p>
<p>Landes.
Mesguich, en quelques mots. Ancien élève du Conservatoire National supérieur d'art dramatique de Paris dans les classes d'Antoine Vitez et de Pierre Débauche, Daniel Mesguich y est professeur depuis 1983.
Lire la suite.</p>
<p>afc. Publié le mercredi, 25 juillet 2007</p>
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<p>In et Off : le festival cartonne</p>
<p>Le Progrès - samedi 21 juillet 2007</p>
<p>Le festival d'Avignon a été créé en 1947 par Jean Vilar. Le festival est aujourd'hui l'un des plus anciens et des plus célèbres de France.
Lire la suite.</p>
<p>afc. Publié le mercredi, 25 juillet 2007</p>
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<p>Un auteur valentinois au Festival d'Avignon</p>
<p>Le Vaucluse Matin / Dauphiné Libéré - samedi 21 juillet 2007</p>
<p>Elle s'appelle Isabelle Valentini et s'habitue tout juste à une nouvelle vie, celle de retraitée dans la commune de Saint-Vallier. Mais jusqu'à la fin du mois de juillet, cette ancienne infirmière en milieu psychiatrique vit dans la cité des Papes.
Jusqu'au 29 juillet, du côté de présence Pasteur, elle présente "Respire Betty", une belle aventure pour cette Valentmoise d'ongme dont les parents tenaient une cordonnerie rue Faventmes. Elle ne pensait sans doute pas que ce texte écrit un jour de septembre 2005 la conduirait cet été à Avignon.
Lire l'article.</p>
<p>afc. Publié le mercredi, 25 juillet 2007</p>
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<p>En direct du Off</p>
<p>Le Progrès - lundi 23 juillet 2007</p>
<p>La pièce de Jean-Pierre Depagne, mise en scène par la Compagnie du Tigre et coproduite par RLC-Spectacles, est jouée actuellement chaque soir à Avignon, dans le cadre du festival Off.
Les Trois Coups, «journal du spectacle vivant en France» (www.lestroiscoups com) salue la performance de la troupe dans son édition electronique. «II faut absolument saluer Claude Monnoyeur, ce comédien qui a su trouver le ton juste, mi-simple mi-decalé, et qui nous fait oublier l'autre interprétation, non moins excellente, de Jean Pia au festival de Gordes en 2004. Si vous avez manquez celle-là, courez vite voir «Prof» d'ici au 28 juillet» écrit Jean-Claude Delalondre. Voila qui fera plaisir au comédien dolois et à toute son équipe!</p>
<p>afc. Publié le mardi, 24 juillet 2007</p>
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<p>INTRA MUROS 24 heures chrono au Funambule</p>
<p>Le Vaucluse Matin / Dauphiné Libéré - lundi 23 juillet 2007</p>
<p>C'est une véritable course contre-la-montre qui s'engage tous les jours dans les salles de théâtre du festival d'Avignon Off.
6 heures du matin : les femmes de ménage remettent en état les 2 salles du Funambule.
A 9h, tout va s'accélérer Les responsables et le personnel s'affairent, les techniciens et les compagnies sont à pied d'oeuvre. Les salles sont nues, le sol et les pendillions noirs attendent la lumière du prochain spectacle.
Lire l'article.</p>
<p>afc. Publié le mardi, 24 juillet 2007</p>
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<p>Une comédie qui a fait mouche</p>
<p>La Tribune - jeudi 19 juillet 2007</p>
<p>En octobre dernier, Patrick Baty, créait un atelier théâtre pour les adultes. Après le succès de Roméo & Juliette, mis en scène pour l'Association Allan Pierres et Mémoire, et le succès que l'on connaît. Patrick n'avait pas souhaité s'éloigner d'Allan. Alors, avec Jean François Cousin, ils ont crée deux ateliers théâtre. L'un pour «les grands», et un autre, pour les plus jeunes, sous la houlette de Jean François Cousin.
Télécharger l'article.</p>
<p>afc. Publié le mardi, 24 juillet 2007</p>
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<p>Avignon, in ou off ? Les deux, mon général !</p>
<p>Le Patriote - du 20 au 27 juillet 2007</p>
<p>Avignon, in ou off7 Les deux, mon général ! C'est dans les mains des festivaliers, qui transportent les deux programmes, que se voit cette unité. Je ne dirais pas qu'il s'en moque, que ce soit in ou off, maîs le public, lui, vient pour se gaver de spectacles, se rassasier à satiété. Cela vaut mieux que d'être devant sa télé.
Lire l'article.</p>
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<p>afc. Publié le mardi, 24 juillet 2007</p>
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<p>Né en Belgique, installé depuis longtemps en France...</p>
<p>Le Midi Libre - dimanche 22 juillet 2007</p>
<p>Egographie en 9 tableaux et 1 entrechat. Né en Belgique, installé depuis longtemps en France dans une carrière de comédien, metteur en scène et créateur, Philippe Sturbelle nous offre dans ce "Prutficellekestraat", à 1000 lieues des "histoires belges", un "seul en scène" ou s'invite une petite foule de personnages qui brossent une esquisse de cette étrange et proche contrée. Philippe Sturbelle a une belle présence en scène, des changements de registres finements dosés, de la drôlerie charmante à la gravite passagère du souvenir, de la poésie nourrie d'Adamo et des
surréalistes à l'autodension....
Lire la suite.</p>
<p>afc. Publié le lundi, 23 juillet 2007</p>
<hr />
<p>"Les Bouffons du soleil" au festival "Off 07"</p>
<p>Le Midi Libre - dimanche 22 juillet 2007</p>
<p>Saint-Jean-du-Gard.
"Les Bouffons du soleil" au festival "Off 07" d'Avignon. Créée en 1989 par Anne-Marie Cellier, la compagnie "Les Bouffons du soleil" a maintenant son theâtre dans Avignon (Theâtre Mistral), et est donc présent au festival "Off 07". Filleule littéraire de Joseph Delteil, Anne-Marie Cellier écrit, joue et met en scene à 20 ans sa première oeuvre "Alauda" qui lui vaut d'être remarqué par Sylvia Montfort.
Lire la suite.</p>
<p>afc. Publié le lundi, 23 juillet 2007</p>
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<p>"Quand les régions s'en mêlent" au festival d'Avignon</p>
<p>Fil Fax Normandie - samedi 21 juillet 2007</p>
<p>La compagnia Arts Fusion participe à la percée de la danse contemporaine. L'opération "Quand les régions s'en mêlent" a été lancée en 2005 par les Régions et les directions régionales des affaires culturelles de Provence Alpes Côte d'Azur et de Rhône Alpes Elles ont été rejointes cette année par la Haute-Normandie et la Guadeloupe. Son objet est l'encouragement des coopérations interrégionales en soutenant la diffusion et la programmation de compagnies chorégraphiques. C'est une véritable culture de la danse contemporaine qui innerve Avignon avec des rencontres publiques - comme celte qui a été organisée le 12 juillet à l'initiative de la revue. "La pensée de midi, du festival d'Avignon et de la région PACA avec deux tables rondes, "Identités et territoires et identités et création -, des projections de films sur les compagnies de danse, les stages de danse contemporaine et bien sûr, des spectacles. Les compagnies sont Sélectionnées par un comité artistique Etre sélectionné présente un gros intérêt puisque le dispositif prend en charge des artistes et techniciens et assure la promotion des spectacles au Théâtre et au studio des Hivernales, spectacles figurant dans le programme du festival off, diffuse a des milliers d'exemplaires.
Lire la suite.</p>
<p>afc. Publié le dimanche, 22 juillet 2007</p>
<hr />
<p>Les Fiançés du Paradis</p>
<p>Avignon Mag</p>
<p>Les Fiançés du Paradis
Théatre Alya, 12h15
Compagnie Mirlitoons</p>
<p>Voici une belle adaptation du premier roman de Franz Bartelt. La mise en scène est simple : (une grande malle mobile qui sert aussi bien de décors que de rangement pour les accessoires) mais laisse place au jeu des acteurs qui occupent la scène à merveille. Pour ce qui est de l’imaginaire de chacun, on comprend vite que cette pièce est une invitation au voyage dans la « petite société » française en quête du bien-être grâce au narrateur. Une quiétude qui se traduit par peu de choses : la rencontre et le partage avec l’autre. Chaque personnage est attachant voire fragile et fait preuve d’une authenticité déconcertante. On assiste à la rencontre de deux individus quelque peu naïfs et perdus qui démontrent que le bonheur est à portée de tous. En bref, un beau moment qui donne envie d’en savoir plus sur l’univers littéraire de cet écrivain ardennais.
Par Laureline Lucas.</p>
<p>afc. Publié le dimanche, 22 juillet 2007</p>
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<p>LES GENS Maxime GAUBERT, véliplanchiste de la Société nautique ...</p>
<p>Le Midi Libre - samedi 21 juillet 2007</p>
<p>LES GENS.
Maxime GAUBERT, véliplanchiste de la Société nautique de Narbonne, vient d'être sacré champion du monde de slalom des moins de 20 ans. Un titre de gloire décroche le 14 juillet - Cocorico! - en Turquie, à l'issue de quatre journées de competition âprement disputées. Arrivé 6ème au Mondial jeunes de Formula Windsurfing alors qu'il n'était que cadet, le jeune Nauticard de 17 ans atteint la consécration après une année 2006 difficile, suite à une blessure. Nous reviendrons prochainement sur sa performance. Laurent SOULIER a encore frappé.
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<p>afc. Publié le dimanche, 22 juillet 2007</p>
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<p>Rencontre Rémi François René, un comédien du festival off</p>
<p>Le Midi Libre - samedi 21 juillet 2007</p>
<p>Sauveterre.
Rencontre Rémi François René, un comédien du festival off. C'est aux gîtes de L'Ermitoune, à Sauveterre, que Rémi-François René (nom d'artiste!), de la compagnie Désaccordé, réside. Ce jeune homme de 30 ans, diplômé d'un DEA de Sciences po, fait un bilan de sa première participation au festival off d'Avignon « La décision s'est prise tardivement et nous avons eu l'opportunité de pouvoir jouer a "La Cour des notaires".
L'emplacement nous paraissait idéal, il y a autour une concentration de théâtre et cela draine beaucoup de monde. Dès le premier jour, ce qui devait être un avantage est devenu un handicap.
Lire l'article.</p>
<p>afc. Publié le dimanche, 22 juillet 2007</p>
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<p>Réception</p>
<p>www.evene.fr - samedi 21 juillet 2007</p>
<p>Dans un hôtel perdu d'une petite ville de province, un réceptionniste acariâtre et un peu alcoolique voit sa vie et ses habitudes routinières bousculées par l'arrivée d'un jeune VRP dynamique puis de son invitée, une jeune femme mystérieuse. Ces deux étranges clients sèment le trouble dans l'esprit de l'homme. L'un, très exigeant, tente au passage de lui vendre sa marchandise, l'autre joue de sa sensualité pour le déstabiliser.
Pourquoi un tel comportement ?
Pourquoi n'apparaissent-ils jamais en même temps ?
Et pourquoi le visage de cette femme lui est-il si familier ?
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<p>afc. Publié le samedi, 21 juillet 2007</p>
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<p>Patty Diphusa</p>
<p>www.evene.fr - samedi 21 juillet 2007</p>
<p>La star du porno livre aux téléspectateurs ses états d'âme, ses expériences, son quotidien, sa vie. Patty monologue devant la caméra, en vrac. Mais y a-t-il vraiment une émission, une caméra ?
Patty est-elle vivante ou n'est-elle que le fantasme de son auteur ?</p>
<p>D'après des récits de Pedro Almodovar
Adaptation Séverine Lathuillière et Emmanuelle Rivière
Mise en scène Séverine Lathuillière
Avec Emmanuelle Rivière et David Babadjanian</p>
<p>Lire la suite.</p>
<p>afc. Publié le samedi, 21 juillet 2007</p>
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<p>Radio mon amour</p>
<p>www.evene.fr - samedi 21 juillet 2007</p>
<p>Dester cherche du 'boulot', Estrella l'attend en s'occupant des tâches ménagères. Pas facile quand on est un jeune couple. Pas facile !
Radio mon amour fait oublier à Estrella le vide de ses journées grâce à la voix de M. Charles de La Strada. Par le miracle des ondes hertziennes, elle va rencontrer celui qui peut comprendre, tout comprendre, qui sait entendre, tout entendre. Car Monsieur de La Strada, d'une façon surnaturelle mais bien en chair et en os, fera irruption dans la vie d'Estrella et de Dester.
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<p>afc. Publié le samedi, 21 juillet 2007</p>
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<p>Le Visiteur</p>
<p>www.evene.fr - samedi 21 juillet 2007</p>
<p>Vienne 1938 : les nazis ont envahi l'Autriche et persécutent les juifs. Par optimisme, Sigmund Freud ne veut pas encore partir ; mais en ce soir d'Avril, la Gestapo emmène Anna, sa fille, pour l'interroger. Freud, désespéré, reçoit alors une étrange visite. Un homme en frac, dandy léger, cynique, entre par la fenêtre et tient d'incroyables discours... Qui est-il ? Un fou ? Un magicien ? Un rêve de Freud ? Une projection de son inconscient ? Ou bien est-il vraiment celui qu'il prétend être : Dieu lui-même ? Comme Freud, chacun décidera, en cette nuit folle et grave, qui est le visiteur...
Lire la suite.</p>
<pre></pre>
<p>afc. Publié le samedi, 21 juillet 2007</p>
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<p>Mentir, ya qu'ça d'vrai</p>
<p>www.evene.fr - samedi 21 juillet 2007</p>
<p>Mentir quand on est coupable... logique !
Mais mentir alors qu'il n'y a rien à cacher... c'est déjà plus curieux !
Ainsi en est-il de Charlotte, Matthieu et Tom qui se révèlent au plus fort de leur sincérité et de leur fragilité quand ils croient se cacher au mieux derrière leurs artifices...
Lire la suite.</p>
<p>afc. Publié le samedi, 21 juillet 2007</p>
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<p>Le malade imaginaire</p>
<p>www.evene.fr - samedi 21 juillet 2007</p>
<p>Fidèle au registre utilisé par Molière, la mise en scène oscille entre bouffonnerie et émotion. Porté par un univers musical où l'image règne en maître, Guy Simon relève le défi d'unir dans un même élan le théâtre à la danse et à l'acrobatie aérienne.</p>
<p>De Molière
Par le Théâtre du Kronope
Mise en scène de Guy Simon
Avec Martine Baudry, Anaïs Richetta, Guy Simon...</p>
<p>Lire la suite.</p>
<p>afc. Publié le samedi, 21 juillet 2007</p>
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<p>Les Couteaux dans le dos, les ailes dans la gueule</p>
<p>www.evene.fr - samedi 21 juillet 2007</p>
<p>Marie ne veut pas qu'on la touche, elle a horreur de ca.
Elle préfère se couper les bras toute seule, juste pour trouver quoi faire de ses mains et de son ennui.
Elle a ses raisons - ses raisons, ce sont ses parents, sa mère qui hait 'les rapports', jusqu'au mot même de 'rapport', ses parents, ce père et cette mère tragi-comiques qu'elle voit vivre, qu'elle va fuir.
Elle écoute parler et chanter Clémence, le fantôme joyeux de sa grand-mère qui sait pourquoi se coupent les enfants ; parce que 'ces ailes qu'ils ont dans le dos, ces ailes immenses et tant d'espace devant eux, quand ils ne peuvent pas voler avec,
c'est comme des couteaux qu'ils ont dans le dos'.
Elle rêve de faire gardien de péage sur une autoroute.
Elle part.
Elle rencontre ce qui pourrait ressembler à ce que l'on serait tenté d'appeler l'amour...
Cela donne une fable dont la morale pourrait être que dans la vie tout peut arriver.
Même rien.
Lire la suite.</p>
<p>afc. Publié le samedi, 21 juillet 2007</p>
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<p>Faust et la main blanche</p>
<p>www.evene.fr - samedi 21 juillet 2007</p>
<p>Fruit de la rencontre entre le mythe de Faust, de ses racines populaires aux inventions de Marlowe et Goethe, avec le théâtre d'acteur et le théâtre de figure, le spectacle s'étend sur la triste histoire d'amour qui lie le docteur Faust, consacré à la malédiction pour avoir fait un pacte avec Méphistophélès le diable, mais en même temps créature chère à Dieu, à la pure et naïve âme de Marguerite.
Lire la suite.</p>
<p>afc. Publié le samedi, 21 juillet 2007</p>
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<p>Débrayage</p>
<p>www.evene.fr - samedi 21 juillet 2007</p>
<p>Dans la tension d'une salle d'attente, sept personnages déracinés, exclus, vont se projeter dans des situations tragi-comiques qu'ils rêvent ou qu'ils ont peur de vivre. Débrayés du grand moteur social, en perte de repères, bannis du bien-penser et du bien-vivre, ils agissent sans mesure et, dans ce contexte grave, se comportent, malgré eux, en figures comiques.
Lire la suite.</p>
<p>afc. Publié le samedi, 21 juillet 2007</p>
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<p>Dossier sur le festival</p>
<p>www.evene.fr - jeudi 19 juillet 2007</p>
<p>Retrouvez un dossier complet sur le festival d'Avignon sur le site Internet d'EVENE.
Lire l'article.</p>
<p>afc. Publié le jeudi, 19 juillet 2007</p>
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<p>Les Fumées du Pape</p>
<p>Théâtrothèque - juillet 2007</p>
<p>Les Fumées du Pape de Dario Fo
Mise en scène de Patrick Mons
Avec Patrick Mons, Jean-Luc Larive</p>
<p>La véridique histoire de l'Enfant-Jésus, de sa naissance à son premier miracle.</p>
<p>Quand Dario Fo, prix Nobel de littérature en 1997, revisite la Bible, cela donne un spectacle poétique plein de charme, étonnant voire détonnant. Tout commence avec l’arrivée de Luciani Albino. Vous ne le connaissez pas ? C’est normal : après quatre jours de votes sans relâche, dans l’intimité de leur conclave, les cardinaux viennent (enfin !) de se mettre d’accord. Pour rire, car il fallait bien, une bonne fois pour toutes, en nommer un ! Voilà qui donne le ton. Fraîchement élu, le souverain pontife s’est immédiatement investi dans une mission de la plus haute importance : il s’est lancé, avec son camarade musicien de la classe d’accordéon du Vatican, dans un grand chantier de jeunesse. Tous deux ont donc quitté la maison mère pour aller à la rencontre des gens. Et voilà notre saint homme qui débarque fièrement dans la cité des Papes, en Avignon, pour prêcher la bonne parole et surtout, raconter à ses disciples la véritable histoire de l’Enfant-Jésus, de sa naissance à son premier miracle. Il fallait oser. Dario Fo l’a fait, la compagnie La Lune et L’Océan l’a interprêté. D’une fort belle manière, d’ailleurs.</p>
<p>Pour raconter cette grande fresque historique, nul besoin d’une flopée de comédiens. Un seul suffit, Patrick Mons, accompagné à l’accordéon par son complice Jean-Luc Larive qui donne au spectacle un air enjoué de colonie de vacances. Sur une scène quasiment dépouillée, il faut voir avec quel talent le comédien polymorphe interprète les différents personnages de ce voyage initiatique. Avec une aisance déconcertante, Patrick Mons passe de l’un à l’autre, sans que cela nuise à la compréhension du spectacle : le voilà qu’il incarne les Rois mages, avant d’entrer dans la peau de la madone et d’endosser les habits de Joseph... et bien d’autres. Sans oublier évidemment l’Entant-Jésus auquel il prête des faux airs de rejeton. Pour couronner le tout, même un certain Eddy Merkx (le coureur cycliste, si, si !) va s’inviter à la fête. Bref, un spectacle pas très catholique, mais savoureusement drôle. Amen !</p>
<p>afc. Publié le jeudi, 19 juillet 2007</p>
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<p>Justice / La cour d'appel confirme l'interdiction qui frappe</p>
<p>La Provence - mercredi 18 juillet 2007</p>
<p>La Salle et la Petite caserne au secours des compagnies</p>
<p>La Cour d'appel de Nîmes a confirmé hier dans toutes ses dispositions l'ordonnance rendue le 6 juillet par le juge des réfèrés du tribunal de grande instance d'Avignon faisant interdiction à Mme Eustache d'installer un théâtre dans son appartement situe place Jérusalem. La cour a en outre condamne Mme Eustache aux dépends et à payer une indemnité de 2 000 € aux copropriétaires qui étaient représentes par Me Alain Graugnard.</p>
<p>Télécharger l'article.</p>
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<p>afc. Publié le jeudi, 19 juillet 2007</p>
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<p>Midi-Pyrénées</p>
<p>La Voix du Gers - du 12 au 18 juillet 2007</p>
<p>26 compagnies régionales des arts du cirque et du théâtre en promotion au Festival off d'Avignon.
Lire l'article.</p>
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<p>afc. Publié le mercredi, 18 juillet 2007</p>
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<p>Un homme d'exigence dans la jungle du "Off"</p>
<p>La Croix - mercredi 18 juillet 2007</p>
<p>Retrouvez le portrait de Pascal Keiser, directeur de la Manufacture.
Lire l'article.</p>
<p>afc. Publié le mercredi, 18 juillet 2007</p>
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<p>Les intermittents : une bombe à retardement</p>
<p>Télérama - mercredi 18 juillet 2007</p>
<p>Parmi les dossiers épineux de Vête, celui des intermittents. Les pseudo-solutionsapportées à la crise de 2003 n'ont rien change. Mais que fait Christine Albanel ?
Télécharger l'article.</p>
<p>afc. Publié le mercredi, 18 juillet 2007</p>
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<p>Les «Lycéens en Avignon» racontent leur séjour de cinq jours au festival</p>
<p>La Voix du Nord - mercredi 18 juillet 2007</p>
<p>Une trentaine d'élèves des lycées Voltaire de Wingles et La Peupleraie de Sallaumines sont plongés dans l'univers du theâtre au festival d'Avignon (lire aussi notre édition du 13 juillet). Ils racontent. Après un voyage de nuit éprouvant en bus, mais plein d'espoir sur les joies qui les attendaient, ils ont été très chaleureusement accueillis par Isabelle, leur maîtresse de maison et les animateurs CEMEA (centre d'entraînement aux methodes d'éducation active) à l'école Saint-Jean L'école, située aux pieds des remparts de la ville, a été spécialement aménagée pour accueillir les groupes des lycéens en Avignon.
Télécharger l'article.</p>
<p>afc. Publié le mercredi, 18 juillet 2007</p>
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<p>D'une rive à Vautre du Rhône</p>
<p>Le Figaro Et vous - mercredi 18 juillet 2007</p>
<p>AJOUT à Villeneuve et quèlques spectacles Off
Faisons comme le public, passons de in à off, d'une rive à l'autre du Rhône Quittons Avignon pour la Chartreuse.
Dans ce lieu idéal, Centre national des écritures du spectacle, dont nous reparlerons, decouvrons gourde Valère Novarina par une compagnie bien intéressante qui se nomme Le Gram, théâtre de la voix et que dinge celle qui met en scène le spectacle, Christine Dormoy.
Lire la suite.</p>
<p>afc. Publié le mercredi, 18 juillet 2007</p>
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<p>Le Festival d'Avignon...</p>
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<p>... vu par Charlie Hebdo</p>
<pre></pre>
<p>Charlie Hebdo - mercredi 18 juillet 2007
Voir l'article.</p>
<p>afc. Publié le mercredi, 18 juillet 2007</p>
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<p>Destination Aubagne à la Mic</p>
<p>AUBAGNE AU JOUR LE JOUR SUPPLEMENT - Bimensuel 2007</p>
<p>Du lundi 9 au vendredi 13 juillet
Le stage guitares
Horaires : 9h - 15h30
Ages : 13 - 25 ans
Participation : 85 € (repas compris) + adhésion 2007/2008 - Inscriptions auprès de Jean Marc Thibault.</p>
<p>Lire l'article.</p>
<p>afc. Publié le mercredi, 18 juillet 2007</p>
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<p>Inside Out</p>
<p>Rue du théâtre - mercredi 18 juillet 2007</p>
<p>TRAJECTOIRES INTIMES
L’œuvre de Sasha Waltz présentée à Avignon a été créée en 2003 à Graz et demeurait inédite en France. Convié à déambuler au milieu des danseurs comme à une exposition, le public gagne en liberté de mouvement. Dommage qu’en retour, il perde le fil d’un spectacle qui par moment se dérobe et se délite peu à peu. Insideout retourne l’intériorité comme un gant. L’œuvre de Sasha Waltz convie le public à se faire voyant, si ce n’est voyeur. Voyant car il s’agit pour lui de saisir l’invisible. De percer la couche de l’épiderme. D’accéder au recel du for intérieur, l’identité, le vécu. Sasha Waltz, avec ce spectacle qui tient de la performance, voulait rendre au public sa liberté de mouvement. Plongé dans la pénombre, un...
Lire l'article.</p>
<p>afc. Publié le mercredi, 18 juillet 2007</p>
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<p>La Folle Farandole des fables</p>
<p>Les Trois Coups - dimanche 8 juillet 2007</p>
<p>La compagnies Les 1001 Vagues de Charentes-Maritimes interprète les "Fables" de Jean de la Fontaine.</p>
<p>On a souvent entendu dire les Fables de La Fontaine, moins souvent les interpréter. Et c’est bien de cet exercice-là qu’il est question avec deux comédiens de théâtre, Marie De Oliveira et Didier Poulain.
Avez-vous déjà entendu dire le Lièvre et la Tortue comme un lièvre et comme une tortue ? Le débit des mots par le premier est tout aussi amusant que le ton et la gestuelle alanguis de la deuxième.
Lire la suite.</p>
<p>afc. Publié le mardi, 17 juillet 2007</p>
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<p>Ding Dang</p>
<p>Les Trois Coups - mercredi 11 juillet 2007</p>
<p>Un spectacle ébouriffant d'un manieur de sons hors pair.
Sur scène, un personnage se pose des questions sur la « musicalité ». C’est d’ailleurs le premier mot que prononce ce clown fantasque, interprété par Patrick Inguenau. En suivant les tribulations de ce chercheur sonore, on aborde avec humour toutes les difficultés que croisent les musiciens modernes. Déterminé et excessif, il explose les conventions, se moque au passage des discours convenus sur la musique, joue avec virtuosité un air endiablé sur une multitude d’objets de cuisine qu’il garde dans une valise, dont il scie les bords pour obtenir le rythme qu’il recherche…
Lire la suite.</p>
<pre></pre>
<p>afc. Publié le mardi, 17 juillet 2007</p>
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<p>Le 61ème Festival de théâtre</p>
<p>www.infoceane.com - lundi 16 juillet 2007</p>
<p>Partitions musicales pour la Haute-Normandie en Avignon
La Haute-Normandie – comme d'ailleurs la Basse-Normandie – assurent une présence minimale cet été en
Avignon. Pas de co-productions ambitieuses comme les années passées, telles celles d'Eric Lacascade ou
de Jan Lauwers dans le festival officiel, appelé "In", et seulement 6 compagnies présentes sur les 940
spectacles présentés dans le "Off". Nous reviendrons ultérieurement sur le festival officiel.
Pour ce qui le concerne, le festival Off qui accueille des compagnies du monde entier, puisqu'aux côtés des
européens, se présentent cette année des compagnies canadiennes, coréennes, indiennes, japonaises,
sénégalaises, taïwanaises (6), états-uniennes et zimbabwéennes, semble avoir surmonté sa crise d'identité...</p>
<p>afc. Publié le mardi, 17 juillet 2007</p>
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<p>Festival d'Avignon : les aventuriers du Off</p>
<p>www.leprogres.fr - mardi 17 juillet 2007</p>
<p>La chance sourit à Camille Germser et Sarkis Tcheumlekdjian qui découvrent les dures lois du Off. Si vous croisez, sur la place de l'Horloge à Avignon en début d'après-midi, un groupe d'hôtesses de l'air, la valise à la main, semblant chercher leur hôtel, il y a de fortes chances pour que ce soient les girls de Camille Germser en pleine parade. Trois heures plus tard, elles regagneront le petit Louvre où la troupe lyonnaise de la Boulangerie reprend la dernière version de « La sublime revanche ». Pour se payer le Off, le jeune metteur en scène a cassé la tirelire et pris de gros risques.</p>
<p>L'aide du baryton Stéphane Degout qui offre la maison dans la campagne avignonnaise où est hébergé l'ensemble de l'équipe et le soutien de la Région et de l'Adami pour la communication comptent. Mais le budget de 75 000 euros, dont 15 000 pour la location d'une tranche quotidienne de deux heures dans cette salle de 225 places. « Il nous faut vendre 70 billets par représentation pour amortir l'investissement, précise Caille Germser qui a fait appel à Philippe Mangenot, ancien bras droit de Gilles Chavassieux aux Ateliers pour mener à bien ce projet. « Mais le jeu en vaut la chandelle ».</p>
<p>Objectif séduction
La chance sourit à ce spectacle qui bénéficie d'emblée de bons relais médiatiques. Les programmateurs pointent le bout de leur nez. « Nous devrions atteindre nos objectifs dans ce domaine », conclut l'animateur de la Boulangerie qui est venu à Avignon aussi pour séduire d'autres partenaires et, d'une certaine manière s'affranchir de la résidence de la Renaissance à Oullins.
Quant au spectacle, et même si vous avez vu l'une des trois premières moutures, n'hésitez surtout pas à franchir le seul du petit Louvre où les girls de « La sublime revanche » sont de plus en plus efficaces et séduisantes.
« Macondo », un succès planétaire.
La chance sourit également à Sarkis Tcheumlekdjian qui présente « Macondo », un spectacle pour trois comédiennes qui a déjà tourné avec succès en Rhône-Alpes, mais aussi au Québec et en Ukraine. « Nous avons déjà accueilli une vingtaine de programmateurs », se réjouit le patron de la compagnie lyonnaise. Premier Acte. Le public est lui aussi au rendez-vous du Chien qui fume, une salle de 200 places, où il devra vendre 90 billets par jour pour amortir le budget de 20 000 euros (50 % pour la location) investis dans ce premier déplacement à Avignon. « J'ai longtemps hésité à venir au Off. Mais on a su me convaincre après avoir vu ce spectacle qui se prête à ce genre d'exercice ».
Antonio Mafra</p>
<blockquote><p>« La sublime revanche », Petit Louvre à 16 h 10. Tél. 04 90 86 04 24.</p></blockquote>
<p>« Macondo », Chien qui fume à 11 heures. Tél. 04 90 85 25 87.</p>
<p>Des Lyonnais très discrets
Les compagnies des Affamés (« L'ours » de Tchekhov à 14 heures au Théâtre de l'étincelle) ou du Voyageur
Debout (« Dany bar » à 20 h 30 au théâtre La Luna-Buffon) et le Théâtre des Asphodèles (« Don Juan »
d'après Molière, à 18 heures dans la cour de la faculté des sciences) ont depuis longtemps marqué leur
territoire dans le Off.
D'autres troupes, plus proches de l'univers du café-théâtre font aussi partie des habitués. Au chapitre des
parcours solitaires, on peut citer l'humoriste Pascal Coulan (Théâtre de la Tache d'encre à 19 heures) ou le
chanteur Vincent Cros (La Mirande à 14 heures). Mais globalement, les Lyonnais semblent moins nombreux
que les années précédentes.
Pour l'anecdote, si vous voulez avoir des nouvelles de Jean-Paul Lucet, retrouvez l'ancien directeur du Théâtre
des Célestins qui dit des textes de Charles Péguy à la chapelle Saint-Louis, lieu de création de spectacles
catholiques du Off.</p>
<blockquote><p>Pour en savoir plus : www.avignonfestivaletcompagnies.com</p></blockquote>
<p>afc. Publié le mardi, 17 juillet 2007</p>
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<p>Rendez-vous au Chat noir</p>
<p>Les Trois Coups - jeudi 12 juillet 2007</p>
<p>À l’entrée, on me remet une carte de député de la IIIe République. Suis-je donc susceptible de participer au spectacle ? J’avoue que je ne suis pas amateur de « l’interactivité » au théâtre. C’est souvent l’occasion pour ceux qui restent dans les gradins de se moquer du « pauvre désigné » et pour les comédiens une façon de se faire mousser.
Lire la suite.</p>
<p>afc. Publié le dimanche, 15 juillet 2007</p>
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<p>Les poules auront des dents</p>
<p>Les Trois Coups - vendredi 13 juillet 2007</p>
<p>Un théâtre exigeant, inetlligent, drôle et sensible.</p>
<p>Parodie hilarante et en chansons du discours politique trop souvent utilisé (et tout récemment encore lors des dernières campagnes électorales présidentielles et législatives).</p>
<p>Ici on se moque des promesses et des 101 propositions pour changer la vie des citoyens, que tiennent nos ténors politiques. On se moque aussi des médias, qui, sous prétexte de distraire obligatoirement le public, prennent le parti d’empêcher une vraie parole de s’exprimer lors d’un débat télévisé entre deux candidats à l’élection du directeur de supermarché… Ils ne cachent pas leur préférence politique : on assiste à un cours de poésie avec les vraies rimes et les faux amis : liberté et libéralisme en sont un exemple puisqu’ils riment au début, mais pas à la fin… Il y a du Queneau pas très loin !
Lire la suite.</p>
<p>afc. Publié le dimanche, 15 juillet 2007</p>
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<p>La Visite</p>
<p>Les Trois Coups - samedi 14 juillet 2007</p>
<p>Avec "La Visite", de Victor Haïm, Robert Plagnol signe une première mise en scène brillante et efficace. Une plongée en noir et blanc dans l'espace intérieur d'une femme qui se découvre...
Lire la suite.</p>
<p>afc. Publié le dimanche, 15 juillet 2007</p>
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<p>Houps</p>
<p>Les Trois Coups - samedi 14 juillet 2007
Un spectacle drôle et poétique</p>
<p>Deux fées s’inquiètent de la prochaine naissance d’un enfant qu’elles veulent prendre sous leur aile protectrice. L’une espère une fille, l’autre un garçon. La discussion tourne à l’aigre. Ça trépigne, ça grogne. Il faut dire que les deux fées sont deux dames clowns aux caractères bien trempés. L’une est grande, l’autre est petite. Miriam Attia est une fée exubérante, qui se veut délicate et raffinée. Kham-Lhane Phu est plus volontaire mais plus tendre.</p>
<p>Lire la suite.</p>
<p>afc. Publié le dimanche, 15 juillet 2007</p>
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<p>LE FESTIVAL D'AVIGNON FÊTE SES SOIXANTE ANS, UNE BELLE JEUNESSE !</p>
<p>Liberté - dimanche 15 juillet 2007</p>
<p>Avignon, le plus important festival de théâtre du monde fête cette année sa 60ème édition...
Lire l'article.</p>
<p>afc. Publié le dimanche, 15 juillet 2007</p>
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<p>La Valse des hyènes. Manuel Pratt</p>
<p>Rue du Théâtre - samedi 14 juillet 2007</p>
<pre></pre>
<p>« MAUX-DIRE » On connait Manuel Pratt cynique et indépendant. Incisif et caustique. On le découvre ici infiniment humain. Fragile, cinglant, brisé… mais en cours de reconstruction. Thérapie par le rire et par le dire.Comment envisager une vie d’adulte sereine lorsqu’on doit se construire sur une enfance brisée ? Lorsqu’on a grandi entre les rancunes entretenues, les haines tenaces, les racismes de tout poil ? Lorsqu’on a hérité, comme une tare génétique, des traumatismes, quoiqu’indirects, de la Shoah ? Comment se projeter dans l’avenir lorsque celui-ci a été, à jamais, marqué par la haine, par la violence et par le sang ? Sans doute n’y aura-t-il jamais de véritables réponses à ces questionnements. Sans doute, l’oubli ne pourra jamais étendre son voile sur ces souvenirs. Mais dire la souffrance est sans nul doute la...
Lire l'article.</p>
<p>afc. Publié le samedi, 14 juillet 2007</p>
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<p>Les festivals de l'été</p>
<p>Le Progrès - vendredi 13 juillet 2007</p>
<p>Retransmissions. Radios et télévisions offrent la possibilité à tous ceux qui ne peuvent aller sur place de voir et d'entendre les nombreux festivals de l'été.
Le festival d'Avignon sera traité par France 4, France 2, France Culture.
Lire la suite.</p>
<pre></pre>
<p>afc. Publié le samedi, 14 juillet 2007</p>
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<p>Histoire de Marie</p>
<pre></pre>
<p>Rue du Théâtre - vendredi 13 juillet 2007</p>
<p>COUP DE COEUR RUEDUTHEATREODE A LA GÉNÉROSITÉ
L’acte théâtral devrait toujours être compris comme un acte de générosité et de simplicité. C’est sur cette voie que s’est engagé depuis plusieurs années le Théâtre de la Passerelle. Et cette année encore, c’est un immense moment de Vie qu’il nous offre. Sans ostentation. Avec un texte qui retentit dans la bouche de Marie Thomas comme un cri. Entre désespoir et volonté de vivre. Sobre et éblouissant. Marie est seule. Marie est pauvre. Mais Marie est belle. Pas de ces beautés siliconées que l’on admire (ou pas) dans les magazines. Pas même de ces beautés naturelles que l’on croise dans les rues. Marie a la beauté de l’âme. Sous un visage dont les traits importent peu, un corps que l’on devine malingre sous ses vêtements empilés...
Lire la suite.</p>
<p>afc. Publié le samedi, 14 juillet 2007</p>
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<p>Ding Dang</p>
<p>Rue du Théâtre - vendredi 13 juillet 2007</p>
<p>COUP DE COEUR - RUEDUTHEATREDINGUERIE MUSICALE
Dès qu'il arrive sur scène, il commence à faire de la musique avec tous les objets qui l'entourent, même les plus prosaïques. Il joue aussi – très bien – du piano, des percussions, du saxo. Il nous fait entrer très vite dans un univers complètement loufoque et absurde dont on n'a assurément pas envie de ressortir... Patrick Ingueneau semble se définir en effet comme un boulimique du son : il fait de la musique avec tout ce qu'il touche. Ne le voit-on pas jouer avec des moules à tartes, puis une scie égoïne, qu'il sort d'une valise ? Même les bruits les plus courants lui donnent prétexte à s'exprimer musicalement... Il épluche aussi des oignons qu'il coupe devant nous pour les faire rissoler dans une poêle... Musicien polyvalent, il entame un brillant solo de percussions, sort de scène et revient bien vite avec...
Lire la suite.</p>
<p>afc. Publié le samedi, 14 juillet 2007</p>
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<p>Taiwan dans le Off</p>
<p>Le Nouvel Observateur - du 12 au 18 juillet 2007</p>
<p>Dans le but de les faire mieux connaître en Europe, la République de Chine-Taiwan envoie six troupes de danse, de théâtre, de marionnettes et de cirque au Festival Off d'Avignon. Ce n'est pas que la politique culturelle de Taïwan ne soit si éclairée et généreuse envers les jeunes artistes. II s'en faut de beaucoup. Mais la République de
Chine a compris que pour continuer d'exister, face au mastodonte qu'est la Chine continentale, il lui fallait cultiver sa spécificité.
Celle-ci reside pour beaucoup dans le développement artistique qui a accompagné l'avènement de la démocratie. Avides de connaissances, souvent créatifs et plus raffines que leurs homologues continentaux, les artistes taiwanais ont comme eux le sens de la virtuosité, de l'éclat.
Le tout tempère par une élégance et une liberté d'expression peu en vogue sur le continent.
A découvrir jusqu'au 28 juillet au Théâtre Le Funambule,
09-54-14-69-29</p>
<p>R-G.</p>
<p>afc. Publié le samedi, 14 juillet 2007</p>
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<p>Avignon OFF</p>
<p>Politis - du 12 au 18 juillet 2007</p>
<p>Trois semaines après le paradis, No Kind, Schopenhauer et moi, l'Oiseau rare...
Lire la critique.</p>
<p>afc. Publié le samedi, 14 juillet 2007</p>
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<p>L'Oise en Avignon</p>
<p>Le Magazine de l'Oise - juillet/août 2007</p>
<p>Du 6 au 27 juillet se tient le plus grand rendez-vous européen du théâtre, le festival d'Avignon.
Quatre compagnies théâtrales de l'Oise y participent dans le cadre du off, grâce à l'aide du Conseil général.
Pour faire rayonner la création isarienne au-delà du département.
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<p>afc. Publié le samedi, 14 juillet 2007</p>
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<p>Farce d'actualité ?</p>
<p>César - juillet/août 2007</p>
<p>Arturo Ui, farce bouffonne... Ironie du sort, cette pièce écrite par Bertold Brecht au début des années 30 - alors que le nazisme prend place -, est encore, et malheureusement, d'une actualité brûlante...
Ce portrait au vitriol du monde politique est présenté dans le cadre du "Off " à Avignon.
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<p>afc. Publié le samedi, 14 juillet 2007</p>
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<p>Individu non-identifié</p>
<p>César - juillet/août 2007</p>
<p>L'enclave belge du Théâtre des Doms initie une sixième programmation à l'occasion du festival d'Avignon. Porte-voix
d'une recherche artistique, la structure ne se restreint à aucune discipline et fouille tout azimut, le champs de la francophonie venant du plat pays.
Lire la suite.</p>
<p>afc. Publié le samedi, 14 juillet 2007</p>
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<p>L'Échange</p>
<p>L’AMOUR ARGENTÉ.
Ce drame écrit par Claudel en sa jeunesse confronte deux couples, quatre conceptions de la vie et de l’amour. La langue permet à ce drame plutôt banal de s’élever au-dessus du simple fait divers, du schéma élimé de l’adultère en littérature. Tout se joue en effet davantage dans le verbe que dans le corps. Le décor traduit une misère de nomades marginalisés. Un plancher en construction-déconstruction traduit les tâtonnements des êtres. Le fil sur lequel sèche un tapis (aspect domestique) et des habits (aspect séduction) marque une première tension entre les rôles attribués à l’épouse. Des éléments hétéroclites à la limite du rebut attestent campement et précarité. Le Nordiste Frédéric Le Junter, sculpteur d’instruments insolites, ...
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<p>afc. Publié le samedi, 14 juillet 2007</p>
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<p>Le Off en images</p>
<p>L'Hebdo Vaucluse - vendredi 13 juillet 2007</p>
<p>Jongleurs, chanteurs, danseurs, comédiens déclamant à tue-tête... la parade colorée, bruyante et bondissante, c'est la vitrine du Off. Trois semaines durant le spectacle est dans la rue comme sur les scènes. Morceaux choisis par l'hebdo.
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<p>afc. Publié le samedi, 14 juillet 2007</p>
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<p>Face à Jeanne, Marie-Jo n'a pas fait le poids</p>
<p>L'Hebdo Vaucluse - vendredi 13 juin 2007</p>
<p>"Mais on s'en fout !". C'est la réponse faite par Jeanne Moreau a Marie-Josée Roig, alors que celle-ci cherchait la complicité féminine de l'actrice sur cette fameuse question d'âge à ne pas dévoiler, passée la cinquantaine !
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<p>afc. Publié le samedi, 14 juillet 2007</p>
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<p>L'Avare</p>
<p>Les Trois Coups - vendredi 13 juillet 2007</p>
<p>Tout donne du sens</p>
<p>Molière revisité, revigoré, revivifié, par un travail exemplaire alliant la musique, le chant et le texte presque intégral...un vrai bonheur !</p>
<p>Chacun connaît l’Avare de Molière, inutile d’en raconter la trame. Ce qui est original dans le travail des Gaspards, c’est d’avoir remplacé certains passages, qui peuvent sembler aujourd’hui lourds et longs, par des chansons, des chœurs parlés, ou même parfois des grommelos.</p>
<p>Dans la première scène entre Cléante (magnifique Gilles Favreau) et sa sœur Élise (Nadine Béchade), le metteur en scène utilise le leitmotiv « Alors dites-moi quel est son nom ? » dans la bouche d’Élise, que son frère, emporté par son discours, muselle aussitôt. Leitmotiv, lapsus révélateur d’Élise, « Alors dites-moi quel est mon nom ? », tout est cohérent pour camper le personnage de la fille sacrifiée, qui n’a pas son mot à dire et qui ignore même qui elle est…
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<p>afc. Publié le samedi, 14 juillet 2007</p>
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<p>Omburé le crocodile</p>
<p>Les Trois Coups - vendredi 13 juillet 2007</p>
<p>L'absence de chocolat</p>
<p>La magie des ombres est ancienne, et elle ne disparaitra pas de si tôt...
Omburé, crocodile monstrueux, découvre le goût du chocolat, qu’une femme lui donne pour sauver sa vie. Quand les réserves de cacao s’épuisent, les villageois du peuple fan se sauvent pour échapper au terrible saurien. Dès lors, Omburé parcours le pays à la recherche des Fans, croisant des animaux plus ou moins coopératifs. Il finit par retrouver le peuple migrant et, pour compenser l’absence de chocolat, dévore quelques-uns d’entre-deux avec régularité. Voilà qu’un jour il exige qu’on lui amène la fille du chef. Mais celle-ci se joue de lui et l’utilise comme compagnon de jeu.</p>
<p>Lire la suite.</p>
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<p>afc. Publié le samedi, 14 juillet 2007</p>
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<p>Les Corps oubliés</p>
<p>Rue du Théâtre - samedi 14 juillet 2007</p>
<p>Opus premier : Melencolia voyage au centre de la vie Le « chantier en cours » du futur triptyque Les corps oubliés sera constitué de trois épisodes de 45 minutes chacun : « Melencolia », « Les cavalières », « La mort et le diable », inspirés des gravures de Dürer. S’inspirant du peintre et graveur allemand Albrecht Dürer dont l’esprit de la Renaissance conserve des traces de la peur du monde médiéval, la Compagnie des Ouvriers nous offre un tableau visuel et sonore d’une saisissante beauté dont les images fouissent les tréfonds de l’essence humaine pour accompagner le voyage de retour aux sources du pays originel dont la figure emblématique de la mère nourricière est le guide. La puissance arachnéenne des symboles et des chimères puise directement à l’indicible souffrance de deux angelots dont ...
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<p>afc. Publié le samedi, 14 juillet 2007</p>
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<p>Norden</p>
<p>Rue du Théâtre - samedi 14 juillet 2007</p>
<pre></pre>
<p>CÉLINE DÉMYTHIFIÉ.
Après Dostoïevski et Brecht, Céline est la nouvelle victime de la folie subversive de Frank Castorf. Son roman «Nord», récit d’une Allemagne déchue de la fin de la seconde guerre mondiale, est objet d’une déconstruction burlesque. Une page sombre d’histoire revisitée entre dérision et provocation. Quelle nouvelle tornade castorfienne promet de s’abattre sur nos têtes? « Une grand-guignolade de Louis-Ferdinand Céline » : le sous-titre est prometteur. On n’en sortira certainement pas indemne. Difficile pourtant de savoir à quelle sauce Catorf va cuisiner nos nerfs...Cette fois-ci la scène est imposante mais étonnamment sage : des grands panneaux volants crient l’anachronique « die another day », un wagon de train taille réelle, et des grands signes noirs indéchiffrables sur affiches blanches, ...
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<p>afc. Publié le samedi, 14 juillet 2007</p>
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<p>Marie-Christine Barrault</p>
<p>Pélerin Magazine - jeudi 12 juillet 2007</p>
<p>Jusqu'au 27 juillet, le coeur d'Avignon bat au rythme du théâtre avec plus de 700 spectacles au programme. L'actrice Marie-Christine Barrault, metteur en scène pour la première lois, vient y défendre Robert ef Clara S., une pièce sur le couple passionnel formé par le compositeur Robert Schumann et sa femme.
Rencontre avec une novice plutôt sereine.
Lire la suite.</p>
<p>afc. Publié le vendredi, 13 juillet 2007</p>
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<p>Deuil et non-dits et Quand Feydeau nous touche</p>
<p>L'Humanité - jeudi 12 juillet 2007</p>
<p>Caserne des Pompiers...
D'Israël Horovitz, on sent la pièce John a disparu nécessaire, née de la stupeur du ll septembre 2001, quand il fallait vivre, tenter de faire comme toujours alors qu'à deux rues tant de corps gisaient... Celui de John (touchant Loïc Brabant), dont le fantôme fera retour, est introuvable au Ground Zero...
Lire la suite.</p>
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<p>afc. Publié le vendredi, 13 juillet 2007</p>
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<p>Coup d'envoi donné par Titoff</p>
<p>La Provence - jeudi 12 juillet 2007</p>
<p>Le match organisé par Avignon Festival & Compagnies, avec l'aide de la Ville et des anciens de FOA aura lieu a Bagatelle à 18 heures. Des représentants des troupes et de la presse devraient affronter de nombreux anciens de l'Olympique Avignonnais.
Le coup d'envoi sera donne par Titoff, présent au Festival Off, maîs aussi neveu d'un ancien de FOA, "Mickey" Rigaud, et, sous réserve, une autre star feminine du Festival.
L'ancien président de FOA Honoré Lemaire devrait aussi être de la fête.
L'entrée est libre, une tombola permettra de rassembler des fonds pour lutter contre la mucoviscidose.</p>
<p>afc. Publié le vendredi, 13 juillet 2007</p>
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<p>Taïwan dans le Off</p>
<p>artsetspectacles.nouvelobs.com - jeudi 12 juillet 2007</p>
<p>Dans le but de les faire mieux connaître en Europe, la République de Chine-Taïwan envoie six troupes de
danse, de théâtre, de marionnettes et de cirque au Festival Off d'Avignon.
Ce n'est pas que la politique culturelle de Taïwan soit si éclairée et généreuse envers les jeunes artistes. Il s'en
faut de beaucoup! Mais la République de Chine a compris que pour continuer d'exister, face au mastodonte
qu'est la Chine continentale, il lui fallait cultiver sa spécificité. Celle-ci réside pour beaucoup dans le
développement artistique qui a accompagné l'avènement de la démocratie. Avides de connaissances, souvent
créatifs et plus raffinés que leurs homologues continentaux, les artistes taïwanais ont comme eux le sens de la
virtuosité, de l'éclat. Le tout tempéré par une élégance et une liberté d'expression peu en vogue sur le
continent. A découvrir!
Jusqu'au 28 juillet, Théâtre Le Funambule, Avignon; 09-54-14-69-29.</p>
<p>Raphaël de Gubernatis- Le Nouvel Observateur.</p>
<p>afc. Publié le vendredi, 13 juillet 2007</p>
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<p>Fin de la guerre du "off"</p>
<p>Le Monde - 12 juillet 2007</p>
<p>Après quatre ans de conflits, la partie « off » du festival de théâtre d'Avignon est entrée dans une ère nouvelle, pacifiée.
La manifestation, quarantième du nom, s'est réorganisée. Elle accueille 970 spectacles. Ses premiers chiffres de fréquentation sont en hausse.</p>
<p>afc. Publié le vendredi, 13 juillet 2007</p>
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<p>Dom Juan !</p>
<p>Les Trois Coups - mercredi 11 juillet 2007</p>
<p>Personnage légendaire, emblématique libertin, infidèle et blasphémateur Dom Juan enlève Doña Elvire d’un couvent en lui promettant de l’épouser, puis l’abandonne sans remords. Ce n’est malheureusement pas la première femme qu’il déshonore ainsi. Dom Juan, c’est le thème éternel de la séduction et la transgression de toutes les règles sociales. Les inimitiés, que le comportement de cet homme favorise, l’attirent dans des duels, mais il ne se dérobe pas, fier d’assumer ses convictions. Rien ne l’arrête, ni son dévoué valet Sganarelle, ni son père qu’il affronte avec cynisme, insolence et hypocrisie, ni même la manifestation de forces surnaturelles qu’il défie jusqu’aux portes de l’enfer.
Lire la suite.</p>
<p>afc. Publié le vendredi, 13 juillet 2007</p>
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<p>Le Off est entré dans l'après-guerre</p>
<p>www.lemonde.fr - mercredi 11 juillet 2007</p>
<p>Avignon "off", année zéro : l'expression peut prêter à rire. La manifestation, lancée vingt ans après la
création du festival officiel, fête son quarantième anniversaire. Elle accueille cette année 970 spectacles
et, quatre jours après le début du festival, des dizaines de milliers de spectateurs parcourent déjà les rues de la
ville, assaillis par les traditionnels distributeurs de prospectus. Avec, en prime, des premiers chiffres de
fréquentation en hausse, selon les organisateurs, de 10 % à 15 % par rapport à 2006. On hésite donc à parler
de reconstruction.
Pourtant, l'édition 2007 inaugure bien une nouvelle ère. Après quatre ans de conflits à répétition, le festival
"off" est entré dans l'après-guerre. Finis les conflits et annulations qui avaient accompagné la grève des
intermittents de 2003. Fini aussi le face-à-face stérile des trois années précédentes entre deux associations
concurrentes éditant chacune son programme et sa carte d'adhérent. A l'automne 2006, le tribunal de
commerce a prononcé la liquidation judiciaire d'Avignon festival off, l'association héritière de l'équipe
historique, et laissé le champ libre aux dissidents d'Avignon festival et compagnies (AFC). Le conservatoire
de musique et la maison des pays de Vaucluse, qui hébergeaient chacun son camp, résonnent à présent d'une
seule et même voix.
Mais que faire de cette victoire ? Consciente de ses "nouvelles responsabilités", comme l'affirme Greg
Germain, directeur du théâtre de la Chapelle du verbe incarné et vice-président d'AFC, la nouvelle équipe
oriente sa "refondation" dans trois directions.
Vers le public, d'abord : pour la première fois, le "off" a mis en place un service en ligne permettant de
réserver dans les 75 salles de la Cité des papes. Vers les professionnels, ensuite : estimant que le coût de
location des salles était déjà "très élevé", les organisateurs ont diminué de moitié (200 euros) la cotisation
permettant aux compagnies de trouver une place sur le programme. En outre, un fonds d'action artistique a été
mis en place, qui a distingué et soutenu cette année huit compagnies. Vers les médias, enfin : vendredi 6
juillet, une "grande parade du "off"" a ouvert les festivités. Avec sa centaine de chevaux, ses milliers de
ballons et une partie des 700 compagnies programmées, l'événement a presque occulté les trois coups du "in".
Tout n'est pourtant pas gagné, loin s'en faut. Avec encore quelques salles accueillant le public dans des
conditions limites, le "off" doit faire "un effort de professionnalisation". "Nous devons pouvoir vérifier les
conditions d'accueil", reconnaît Greg Germain.
Les organisateurs rêvent aussi d'une billetterie "normalisée" susceptible de mieux comptabiliser les quelque
710 000 entrées enregistrées en 2006. Ils ont annoncé la tenue, à l'automne, d'"états généraux" destinés à
"redéfinir les missions" du Festival. Simple agrégat de salles et de programmations pour vacanciers avides de
culture ? Fournisseur de services pour compagnies en quête de diffuseur ? Aventure artistique commune
susceptible de trouver des échos au-delà de juillet ? "Avant de choisir, sans doute en janvier, l'opérateur
susceptible de nous aider à mettre tout ça en place, nous allons définir des objectifs et un programme,
souligne M. Germain. Pour cela tout le monde est le bienvenu, les représentants du"in" et l'Etat."
La place de la puissance publique constitue en effet le dernier enjeu. "Notre souci est de savoir à quoi doit
servir l'argent public, note Thierry Pariente, délégué au théâtre du ministère. A soutenir un programme déjà
largement autofinancé ? A aider des lieux à faire leur politique de communication ? Je suis sceptique. En
revanche, je suis prêt à discuter d'une intervention cohérente, conforme à notre mission." Rendez-vous donc
en octobre, pour les états généraux du"off".</p>
<p>Nathaniel Herzberg.</p>
<p>afc. Publié le jeudi, 12 juillet 2007</p>
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<p>Le Théâtre du Bocage en Avignon entre performance et plaisir</p>
<p>www.lanouvellerepublique.fr - mercredi 11 juillet</p>
<p>Jusqu'au 28 juillet, le Théâtre du Bocage campe ses personnages au festival off d'Avignon : vingt-trois
représentations pour une création, " Des couteaux dans les poules ".
Retour à Avignon pour le Théâtre du Bocage. Après « Y'a des croquettes plein ton assiette ! » de Kurt
Tucholsky l'an dernier, la compagnie plante cette fois « Des couteaux dans les poules » sur la scène de
l'espace Alya, pour vingt-trois représentations. « C'est un lieu agréable, techniquement performant, où nous
sommes allés en toute confiance. C'est sécurisant, surtout pour une création », explique Claude Lalu,
directeur de la compagnie bocaine.
Car c'est dans ce « off » foisonnant d'Avignon – plus de 700 spectacles proposés au public – que la première
de la pièce a été présentée vendredi. Le public bocain devra attendre la prochaine saison culturelle du théâtre
de Bressuire pour la découvrir début 2008. « Manuel Bouchard travaille depuis un an sur ce texte, rappelle
Claude Lalu. Ensuite, nous avons étalé les répétitions sur plusieurs petites périodes, selon les disponibilités
des comédiens. »
" Avignon, c'est un peu le salon du théâtre ! "
Derrière le titre un peu énigmatique de la pièce, « Des couteaux dans les poules », se cache un texte d'un
auteur écossais contemporain, David Harrower. « Une fable qu'on pourrait situer au Moyen Âge ; dans un
village, trois personnages : un laboureur et sa toute jeune épouse, et un meunier, qui vit un peu à l'écart du
village. La pièce retrace le parcours initiatique de la jeune femme, qui a une soif de savoir, une curiosité
intarissable, qui a besoin de mettre des mots sur les choses. Son époux, le laboureur, n'est obtus, mais sent
que cette soif de savoir ne va pas être appréciée par le village, et l'enterre donc sous une chape de plomb. Le
meunier, lui, sait lire et écrire, et attire donc la jeune femme. », résume Claude Lalu, interprète de la pièce
avec Franck Beckmann et Babette Moinier.
Un triangle amoureux, un aspect « un peu fait divers », servi par une mise en scène sobre et dépouillée, créée
par Manuel Bouchard et le scénographe Didier Gauduchon. Un dispositif « léger », appréciable lorsqu'il faut
monter et démonter son décor en quelques dizaines de minutes, sur un plateau que se partagent cinq
compagnies ! « Nous avons des créneaux très précis, confirme Claude Lalu. Mais tout se passe bien, nous
avons trouvé un vrai esprit de coopération entre compagnies. »
Sur place, le Théâtre du Bocage, c'est une équipe de sept personnes, qui travaille sur et hors scène. « Il faut
faire sa place, alors nous allons à la rencontre du public, c'est toujours mieux de pouvoir discuter que de
distribuer du papier ! » Pour cette création, la compagnie a reçu le soutien de la région, du département et de
la ville. « Un soutien indispensable, sachant que ce déplacement engendre pour nous un budget qui est loin
d'être négligeable ! Il faut nourrir, loger et blanchir sept personnes, et compter la location de la salle. »
Où le Théâtre du Bocage a donc vingt-trois représentations pour convaincre. « C'est l'occasion de donner au
spectacle une certaine maturité. A la fois un plaisir, et une performance. Mais c'est aussi un endroit où l'on
peut croiser des programmateurs culturels du nord, de l'est, du sud et de l'ouest. Avignon, c'est un peu le
salon du théâtre ! »</p>
<p>Caroline JAOUEN.</p>
<p>afc. Publié le jeudi, 12 juillet 2007</p>
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<p>Paroles de festivaliers</p>
<p>Tribune de Lyon - du 5 au 11 juillet 2007</p>
<p>"On évite de tout planifier".
Pascal, directeur artistique, est devenu depuis cinq ans un spectateur régulier de l'édition Off du festival d'Avignon.
Télécharger la suite.</p>
<p>afc. Publié le jeudi, 12 juillet 2007</p>
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<p>Festival d'Avignon Off</p>
<p>La tribune de Lyon - du 5 au 11 juillet 2007</p>
<p>Petit frère du précédent, né dans la révolte et l'esprit de la contre-culture aux confins de 1963, il a pour vocation
de démultiplier l'offre et de casser les rigidités d'une programmation dite "officielle". Bon, reconnaissons que si, avec le temps, il s'est structure et forcément institutionnalisé, ce grand fourré-tout est encore le réceptacle de surprises et d'émerveillements...
Seule (grosse) ombre au plateau : deux associations rivales revendiquent le Off et obscurcissent la lisibilité de l'ensemble. Du moment que les artistes et le public ne sont pas les dindons d'une triste farce...</p>
<p>afc. Publié le jeudi, 12 juillet 2007</p>
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<p>L'été en musique</p>
<p>Valeurs Actuelles - du 6 à 12 juillet 2007</p>
<p>Dans l'épaisse forêt de festivals qui, cette année encore, recouvre la France, difficile de s'y retrouver. Pour vous y aider, "Valeurs actuelles" vous invite à découvrir ceux qui donneront le "la", en juillet et en août.
Lire la suite.</p>
<p>afc. Publié le jeudi, 12 juillet 2007</p>
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<p>Portraits intérieurs</p>
<p>Les Trois Coups - mardi 10 juillet 2007</p>
<p>La sensualité suinte des désirs intérieurs.</p>
<p>Noir. Une musique inquiètante m’entraîne vers les profondeurs.
Une ombre. Une deuxième. Deux formes émergent de la pénombre. L’une puis l’autre. Un souffle se distingue à peine. Dans cet espace blanc, la musique sort deux corps du sommeil. L’animal guette. Les sens sont mis en éveil. Deux êtres se déplacent au sol : homme ou animal ? Les gestes sont précis, les marches pressenties. Rapidité et sensations. Deux attitudes se font voir, deux façons d’être, de penser et de réagir.
Lire la suite.</p>
<p>afc. Publié le mercredi, 11 juillet 2007</p>
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<p>Vite dit</p>
<p>Le Quotidien - samedi 7 juillet 2007</p>
<p>Le Festival d'Avignon, l'une des plus importantes manifestations au monde pour les arts de la scène (théâtre, danse, musique...) a donné hier sous le soleil le coup d'envoi de trois semaines de spectacles, lectures et expositions.
Les affichettes annonçant les spectacles du festival «Off» (866 cette année) ont de nouveau envahi les rues de la citadelle des papes, et certaines compagnies (658 en 2007, venues de France et de 16 autres pays) ont commence à jouer dès la matinée ou la mi-journée.
Le « In », qui fête ses 60 ans, a débuté avec la première des « Paravents » de Genet remontés au Théâtre municipal à l'aide -de marionnettes japonaises par le metteur en scène Frédéric Fisbach, « artiste associé » du Festival d'Avignon 2007.</p>
<p>afc. Publié le mardi, 10 juillet 2007</p>
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<p>Kraff</p>
<p>Les Trois Coups - lundi 9 juillet 2007</p>
<p>Dérouler, couper, plier, compresser, tordre.
Le froissement du papier glisse jusqu’aux oreilles.
Dérouler, couper, plier, compresser, tordre, assembler.
Un corps prend forme.
Torsader, nouer.
Un bonhomme se dessine.
Naissance merveilleuse d’un être de papier.
Découverte de ce corps si fragile aux premiers pas incertains.
En face, un homme danse.
Regards croisés…
« Il est étrange ce personnage qui remue ! Qui est-il ? Que fait-il ? » C’est ce que pourrait bien se dire le personnage manipulé.</p>
<p>Lire la suite.</p>
<p>afc. Publié le mardi, 10 juillet 2007</p>
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<p>60ème anniversaire</p>
<p>France-Antilles - samedi 7 juillet 2007</p>
<p>Le Festival d'Avignon fête son 60ème anniversaire... Lire l'article.</p>
<p>afc. Publié le lundi, 09 juillet 2007</p>
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<p>Dits et interdits ou 30 ans de carrière sans passer chez Drucker</p>
<pre></pre>
<p>ruedutheatre.com - lundi 9 juillet 2007</p>
<p>UN HUMOUR RÉTROSPECTIF</p>
<p>Avec Romain Bouteille, Marianne Sergent est une des rescapées de la troupe du Café de la Gare. Alors que leurs autres compagnons ont pris leur envol à travers multitude de médias, ils poursuivent tous deux une carrière solitaire d’humoristes à part.</p>
<p>Le « seule-en-scène » de Sergent, sous-titré « 30 ans de carrière sans passer chez Drucker », mise d’abord sur la nostalgie. En effet, la représentation est émaillée de vidéos d’anciens sketches du parcours de la fantaisiste. Ce qui, parfois, souligne le vieillissement de certains traits caricaturaux.</p>
<p>Le fil conducteur de cette anthologie est autobiographique. Il démontre qu’être provocateur ne paie pas facilement dans un monde formaté guère enclin à être dérangé dans son conformisme. Avoir un petit côté « Charlie-Hebdo » n’aide assurément pas à la promotion auprès du public des séries télévisées.</p>
<p>Débordante de vitalité – au point qu’il est difficile par moment de suivre son débit verbal dopé aux énergies renouvelables et qui, çà et là, n’est pas sans rappeler celui d’Anne-Marie Carrière – Marianne se lance dans la dérision, voire l’autodérision. Pas toujours aisé à faire passer lorsque les salles ont tendance à prendre tout au premier degré. Et ne sont peut-être pas prêtes à accepter des évidences telle que l’attribution de l’invention de la publicité au maréchal Goebbels… Si l'on saute le pas, sa diatribe démontrant que l’Europe n’est qu’un ramassis de peuples pleins de défauts et qui n’est finalement parfaite qu’incarnée en sa personne au cœur de l’Île de France est, a contrario, un beau plaidoyer contre ceux qui votèrent non à la constitution. Son engagement en faveur d’une écologie mieux généralisée fait mouche aussi, ne craignant pas d’égratigner au passage les contradictions qui gangrènent les véritables actions idéologiques au sein d’une économie de marché.</p>
<p>Sans doute les rigoristes regretteront-ils que des effets faciles, tel ces incessants changements de toilettes à chaque numéro, frisant le défilé de mode, atténuent les coups de griffe de la causticité. Mais quoi, la prestation de Marianne Sergent, c’est aussi du spectacle.</p>
<p>Michel VOITURIER
www.ruedutheatre.info</p>
<p>Dits et interdits ou 30 ans de carrière sans passer chez Drucker
Textes et interprétation : Marianne Sergent
Mise en scène : Amar Moustefaoui
Production : Ankou Culture</p>
<p>Au Collège de la Salle, place Pasteur jusqu’au 28 juillet 2007 à 20h (Durée 1h30).
Réservations : 04 90 82 21 56</p>
<p>Photo © DR</p>
<p>afc. Publié le lundi, 09 juillet 2007</p>
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<p>Dans les coulisses du Off</p>
<p>L'Express - du 5 au 11 juillet 2007</p>
<p>Jouer et être vu. 658 compagnies participent à l'« autre » festival.
L'Express a suivi, avant leur départ pour Avignon, quelques-unes de ces troupes de passionnés qui jonglent avec les dettes et le système D.
Lire la suite.</p>
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<p>afc. Publié le dimanche, 08 juillet 2007</p>
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<p>Gérard Gélas, un esprit libre au service du théâtre</p>
<p>www.webthea.com - jeudi 5 juillet 2007</p>
<p>Le directeur du Chêne Noir répond aux questions de Webthea à l'occasion des 40 ans de son théâtre.</p>
<p>Télécharger l'article.</p>
<p>afc. Publié le dimanche, 08 juillet 2007</p>
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<p>De jeunes essonniens sur scène à Avignon</p>
<pre></pre>
<p>www.essonne.fr - mercredi 4 juillet 2007</p>
<p>De jeunes essonniens joueront au Festival d'Avignon du 10 au 20 juillet la pièce "les enfants". La démarche de Gilles Martin est ambitieuse et originale : réunir le geste pédagogique et le geste artistique en proposant à des jeunes gens d'investir le plateau de théâtre avec des artistes professionnels pour questionner ensemble le monde.
Edward Bond a écrit Les Enfants dans ce but précis et nous propose d'envisager sous un jour nouveau la pratique du théâtre, d'en faire un véritable laboratoire pour l'imagination. Pour ce faire, il ancre sa pièce dans une réalité sociale et développe des thèmes intimes et politiques : la violence et sa transmission de génération en génération, la notion de partage, l'avenir écologique, la logique consumériste.
Un spectacle fort, pertinent et utile. Les Enfants ont été présenté au Théâtre Brétigny en novembre 2006.
Cette aventure théâtrale partagée avec des adolescents de Brétigny-sur-Orge et de Morsang-sur-Orge se poursuit au Festival d'Avignon pour cette équipe artistique originale (à laquelle s'ajoute des enfants de Palaiseau). Ces 30 jeunes comédiens vont répéter au Théâtre Brétigny du 30 juin au 3 juillet pour partir sur Avignon le 5 juillet.
Après quelques jours de répétition, ils entameront les 10 représentations en alternance. Ce sera aussi l'occasion pour eux d'aller voir les spectacles programmés dans le Festival d'Avignon In et Off. Une belle aventure pour tous ces jeunes essonniens.</p>
<p>afc. Publié le dimanche, 08 juillet 2007</p>
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<p>Bambi, elle est noire mais elle est belle</p>
<p>www.ruedutheatre.info - samedi 7 juillet 2007</p>
<p>CONTE DE FÉE MODERNE ... Ou le récit décapant, sous le signe de la dérision, d’une vie de mésaventures d’une jeune sénégalaise qui débarque en France. Une belle performance d’une Maïmouna Gueye inspirée qui s’approprie la scène avec une énergie impressionnante et un humour irrésistible. Mordant et touchant. Oubliez les images fleuries, sirupeuses et naïves du conte de Walt Disney. Du nom féerique qui lui colle à la peau la jeune Bambi n’a hérité que de la beauté. Où sont passés l’innocence, la naïveté, l’insouciance que lui promettaient son prénom ? Toute l’histoire de Bambi, jeune femme sénégalaise qui découvre la France, commence par le paradoxe de son nom joyeusement tourné en dérision. Une jolie façade pour une existence semées d'embûches...
Lire la suite.</p>
<p>afc. Publié le samedi, 07 juillet 2007</p>
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<p>Des chevaux de Camargue ouvrent le Off</p>
<p>Le Parisien - samedi 7 juillet 2007</p>
<p>Avignon (Vaucluse) DE NOTRE ENVOYE SPECIAL.
«O POOOOVRE i Que c'est beau » Les plus blasés des Avignonnais n'en sont pas revenus. Hier, à l'heure du pastis sur les terrasses de la rue de la République, ou les brumisateurs tentent de rafraîchir les badauds sous un soleil de plomb, une centaine de petits chevaux blancs de Camargue remontent, au trot, l'artère la plus commerçante de la ville, en direction du palais des Papes. Des chevaux en liberté sur le bitume, comme un mirage de troupeau.
C'est l'image forte de la première grande parade du festival off, qui ouvre les festivités de cette 61ème édition de la mega-foire annuelle du théâtre. Encadrés par de solides manadiers, les animaux sont quelque peu effrayés des qu'éclaté un pétard ou que sonne une fanfare. Mais ils assurent le spectacle sans broncher, parmi les drôles de zèbres qui défilent comme au carnaval pour attirer le chaland dans les theâtres. Un professionnalisme affirmé Et pour sortir du lot parmi les 866 spectacles proposes au public cette année, les troupes n'ont pas lésine sur les costumes et les décibels. On croise un bataillon de tirailleurs sénégalais menés à la schlague par des grades, des rockers mimant une baston à la « West Side Story », une escouade de bimbos en robes longues siglees «Phèdre» sur les fesses, des acrobates de cirque, des bateleurs, des cracheurs de feu, des Mad Max sanguinolents, des mandarins chinois, un faux pape donnant l'absolution à ses nonnes. Bref, le folklore habituel du Off, avec ce grain de folie qui se conjugue à un professionnalisme de plus en plus affirmé.
Cette année, parmi les artistes, on ne bricole plus! La plupart des distributeurs de flyers pour les pièces portent des tee-shirts flashy indiquant en gros le nom du théâtre et l'horaire des représentations. D'autres déboulent en vélomoteurs de pizzaiolos, et ratissent les abords de la place de l'Horloge pour alpaguer les spectateurs potentiels. Heureusement, il reste encore des « pubards » plus poétiques. Comme ces échassiers moyenâgeux, qui annoncent leur spectacle en vieux français rabelaisien.
Ou ces chevaux camarguais, qui eux, ne trottent pour personne. Une centaine de chevaux camarguais a remonté la rue principale qui mène au palais des Papes.</p>
<p>Hubert Lizé.</p>
<p>afc. Publié le samedi, 07 juillet 2007</p>
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<p>"AF&C" souhaite la bienvenue aux acteurs du Off</p>
<p>La Provence - vendredi 6 juillet 2007</p>
<p>Les trois coups n'avaient pas encore été donnés, mais déjà, "Avignon Festival & Compagnies" a crée un évènement en réunissant, à l'espace Alya de la rue Guillaume-Puy, des centaines de représentants des compagnies participant au Off 2007.
Elles sont 658, dont 227 d'Ile-de-France, 115 de Provence Alpes Côte d'Azur, 49 de Rhône-Alpes, 31 du Languedoc-Roussillon, 28 de la région Midi-Pyrénées, 17 du centre.
Elles ont pu écouter les mots de bienvenue des membres du bureau d'Avignon Festival & Compagnies, réunis autour du président Andre Bénedetto.</p>
<p>afc. Publié le vendredi, 06 juillet 2007</p>
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<p>Avignon : dix-neuf compagnies dans le off</p>
<p>Ouest France - vendredi 6 juillet 2007</p>
<p>Au Grenier à sel ou ailleurs, une vingtaine de spectacles représentent la création régionale dans le off foisonnant de la 61e édition du festival.
« Quand on joue vingt-deux jours d'affilée, le spectacle prend de l'envergure. Ça vaut mieux qu'un gros investissement émotionnel pour une représentation isolée ». La chorégraphe mancelle Mane Lenfant est l'une des douze compagnies de la région qui s'installent en juillet au Grenier a sel, cet ancien hôtel des ventes d'Avignon ou s'expose pour la dixième annee consécutive la création des Pays de la Loire. « On prend conscience qu'on n'est pas seul au monde, on échange avec les autres compagnies, tout est facilité. Les retombées ne sont pas forcément immédiates mais cela fait bouger les choses, c'est certain ». En Avignon, on vient montrer son travail dans l'espoir de prendre date en région ou ailleurs.
On y cherche aussi une forme de soutien institutionnel. « Le premier bénéfice, c'est la reconnaissance de la Région. Je crois au travail de territoire. Plus on l'affine, plus le national s'ouvre. » Annabelle Sergent, de la compagnie angevine Loba, n'est pas fâchée de voir un festival de theâtre se pencher sur « une forme artistique plus dépouillée », le spectacle jeune et tres jeune public. Comme la majorite des artistes, elle vient au Grenier à sel pour la premiere fois, sélectionnée parmi une cinquantaine de candidatures. « Le choix s'est fait dans le respect d'un équilibre à la fois esthétique et géographique », explique Dominique Norval, secrétaire de la commission culture de la Région, « sans fil conducteur si ce n'est que ce sont toutes des compagnies ligériennes qui apportent le mieux de leur création à un instant T ». Ainsi, la Région accueille et apporte son soutien logistique (pour un budget de 260 000 6) à une vingtaine de spectacles Théâtre, chanson, danse les artistes viennent de Vendee (Cie Gnzzh Philibert Tambour, En compagnie des loups, Vaguement la jungle, Cie Bernadette Gaillard, Cie Des arts d'hier pour aujourd'hui, Cie S'Poart), du Maine-et-Loire (Cie Loba), de la Sarthe (Theâtre de l'Enfumeraie, Marie Lenfant), de Loire-Atlantique (Claudia Nottale, le Théâtre du Rictus, la chanteuse Barbarie), ainsi qu'une compagnie amateur de Dinan, le Théâtre de l'If. Six autres artistes de la région se produisent dans d'autres lieux le Théâtre de l'Ultime, le Théâtre du Chêne vert, les chanteurs Niobe et Matthieu Bouchet, le theâtre de l'Ephémère et la Compagnie jamais 2 sans 3 Isabelle LABARRE.</p>
<p>Du 6 au 27 juillet, au Grenier à sel, 2, rue du Rempart Saint-Lazare.
Res : 04.90.27.09.11 (13/9/6€)</p>
<p>afc. Publié le vendredi, 06 juillet 2007</p>
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<p>Grande parade festive</p>
<p>Le Dauphiné Libéré - vendredi 6 juillet 2007</p>
<p>"Le Off c'est la liberté, le Off c'est la création".
Ainsi en est-il de la symbolique affichée par Avignon Festival et Compagnies. Et pour marquer les trois coups de l'édition 2007, AF&C a concocté une grande parade orchestrée par Maunce Galle, leader du spectacle équestre, symbolisant toutes les esthétiques du spectacle vivant.
Plus de 100 juments blanches et poulains noirs, des cavaliers, des acteurs, des circassiens, des danseurs, des musiciens formeront le cortège qui partira à 18h30 de la Poste centrale pour se rendre sur la place du Palais des papes.</p>
<p>Violeta ASSIER.</p>
<p>afc. Publié le vendredi, 06 juillet 2007</p>
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<p>Une odyssée théâtrale extraordinaire</p>
<p>Le Dauphiné Libéré - vendredi 6 juillet 2007</p>
<p>Le festival d'Avignon, c'est avant tout le rendez-vous international du monde du spectacle vivant.
Seize nations y sont représentées pour cette 61e edition. Mais c'est aussi deux entités le In, plus organise, plus "institutionnalise" aussi et le Off avec toutes ses compagnies independantes qui viennent chercher un programmateur. Véritable vitrine par la richesse et la diversité des oeuvres présentées, le In propose cet été une quarantaine de rendez-vous. De son côté, le Off accueille 850 spectacles 250 000 spectateurs et quelque 3000 programmateurs sont attendus durant ces trois semaines dans la cité des papes. Vitrine de la richesse et de la diversité, c'est un rendez-vous un peu particulier qui s'ouvre aujourd'hui. Après une édition 2003 annulée pour le In - suite à la grève des intermittents - et un été sur fonds de querelles en 2006 avec deux programmes et deux cartes d'abonnement pour le Off, la tempête semble s'être éloignée d'Avignon. Tous apprécieront le calme revenu. Et les deux directeurs du In, Hortense Archambault et Vincent Baudriller - reconduits par le Ministère de la Culture dans leur fonction à la fin de cet été pour un second mandat de quatre ans - apprécieront d'autant plus cette 61e edition 2007 rendra hommage au poète vauclusien René Char à travers la création de "Feuillets d'Hypnos" de l'artiste-associé Frédéric Fisbach.
Du côté du Off, même soulagement. Châpeauté par AF&C, Avignon Festival et Compagnies, le festival s'annonce serein avec un seul programme et une seule carte d'abonnement Le festivalier aura donc entre les mains deux guides tres colorés, un pour In et un seul pour le Off.
Si les Avignonnais font la différence entre ces deux entités existantes, le festivalier retient de ce célèbre festival la cour d'Honneur, les parades dans les rues, les milliers d'affiches colorées collées sur les murs, les compagnies distribuant leurs tracts, plus Imaginatives les unes que les autres pour se démarquer.
Avec le précieux guide en main, le festivalier déambule de rue en rue pour trouver le bon theâtre parmi les 100 lieux d'accueil. C'est donc bien un festival populaire qui se dessine dans l'esprit des gens, celui-là même voulu par son fondateur Jean Vilar en 1947.
Et cet été, les têtes d'affiches sont toutes aussi connues les unes que les autres. Un festival de magie avec Gérard Majax, de rue avec Christophe Alevêque, de gaite avec Vincent Roca, d'humour avec Clémentine Célarié ou Cartouche, plus cérébral avec Daniel Mesgisch, provocateur avec Emmanuelle Rivière et les frères Cantona, historique avec Agnès Varda, musical avec Pierre Henry, rayonnant avec Ariane Mnouchkine, vertigineux avec Jeanne Moreau...la liste serait trop longue. Ce qui est sûr, c'est qu'il n'y a pas d'âge, pas de classe sociale pour se rendre au Festival d'Avignon.</p>
<p>REPERES</p>
<p>-> FESTIVAL IN
Billet des spectacles à retirer au bureau de location du Cloître Saint-Louis, 20 rue du Portail tous les jours de 11Hh a 19h30 La location au Cloître s'arrête trois heures avant le début du spectacle et une heure avant sur le lieu de la répresentation.
Réservations a la Fnac ou par téléphone au 04 90 14 14 14 ou par internet : wvvw festival-avignon com.</p>
<p>-> FESTIVAL OFF
La carte d'abonnement est au tarif unique de 13 euros. En achetant cette carte, le festivalier bénéficie de 30% de réduction sur tous les spectacles du OFF. Les cartes sont en vente dans les théâtres du OFF, à l'office de tourisme, ainsi qu'au Conservatoire de musique, place du Palais des Papes Site.
Consulter le site Internet d'AF&C.</p>
<p>afc. Publié le vendredi, 06 juillet 2007</p>
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<p>Le festival Off se décentralise</p>
<p>Le Dauphiné Libéré - vendredi 6 juillet 2007</p>
<p>NOVES. A quelques kilomètres des remparts d'Avignon, le théâtre ambulant de la compagnie marseillaise des Carboni, la Posada, servira de cadre aux trois "Soirées du off hors les murs". II leur permet de venir au plus près du public, pour toucher des spectateurs nouveaux, de milieux divers.
Ces trois soirees se placeront sous le signe de l'opérette marseillaise et de la commedia dell'arte. L'opérette de Vincent Scotto, "Un de la Canebiere" (le 5), ouvrira les festivités, suivie de Goldom, dont on fête le 300e anniversaire (avec "Arlequin serviteur de deux maîtres", qui sera joue aussi dans la Cour du Barouf pendant le festival) puis d'un "Scaramuccia" imaginaire, dans une comédie foraine originale Théâtre de Verdure, Noves, 21h30.
-6 juillet, "Arlequin, serviteur de deux maîtres", par l'AIDAS, mise en Scène Carlo Bosc
-7 juillet, "Scaramuccia l'Européen", de Hervé Hagai et Frederic Muhl- Valentin, par les Carboni, mise en scène Frédéric Muhl-Valentin.</p>
<p>POUR EN SAVOIR PLUS :
Réservations au 04 91 90 33 52</p>
<p>Geneviève DEWULF.</p>
<p>afc. Publié le vendredi, 06 juillet 2007</p>
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<p>Dominique Sarrazin rêve « d'Avignon naissants »</p>
<p>La Voix du Nord - vendredi 6 juillet 2007</p>
<p>A 56 ans, Dominique Sarrazin a bien roulé sa bosse théâtrale. Le metteur en scène du Théâtre de la Découverte (Lille), qui a commencé à la Salamandre, fera partie des «anciens», parmi les troupes retenues par la Région. Voici son regard sur Avignon. Très heureux d'être à Avignon pour y jouer.
L'Enfance d'un chef, de Sartre, grâce au soutien de la Région (voir ci-dessus), Dominique Sarrazin jette sur le festival un regard toujours empreint de recul «La dernière fois que je suis allé à Avignon, c'était pendant la greve des intermittents. J'y ai peu joué, pour plein de raisons, souvent économiques On m'avait aussi propose d'y prendre un spectacle tres cher, mais qu'il fallait rogner». Refus d'un comédien et directeur de théâtre (la Vemere, a Lille) qui s'en tient à ce principe «L'argent public ne doit pas servir a louer des salles pour jouer dans de mauvaises conditions. La solution est de faire du "off" qui ne soit pas "out" » Ce qu'il trouve à l'Espace Pasteur, avec la Région. Ce festival « off » est tentaculaire «La ville est couverte d'affiches, qui pendent dans les arbres. Mais le mélange des genres et les rencontres qu'on fait ici (il est arrivé avant-hier en voiture), c'est intéressant. II y a peu d'endroits ou le theâtre se rassemble ainsi. Mais il manque des Avignon naissants, de petits Avignon. II y avait Hensson, équivalent de Marcillac pour le jazz. II faudrait des festivals qui éclairassent le paysage » A côté de la grisante et étourdissante jungle avignonnaise.</p>
<p>CF.</p>
<p>afc. Publié le vendredi, 06 juillet 2007</p>
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<p>Le festival, produit du terroir</p>
<p>Matin Plus - vendredi 6 juillet 2007</p>
<p>Culture.
Dans le sillage des «grands» (Avignon, Aix-en-Provence, Marciac...), l'été est le théâtre de centaines de festivals, aux motivations souvent 2 touristiques. Enquête sur une «exception culturelle» franco-française.</p>
<p>Lire la suite.</p>
<p>afc. Publié le vendredi, 06 juillet 2007</p>
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<p>Le « off», une aventure au long cours</p>
<p>La Croix - vendredi 6 juillet 2007</p>
<p>Depuis vingt et un ans, le Groupe 3.5.81 cherche à seduire le public et les diffuseurs dans ce vaste marché du spectacle vivant...
Télécharger l'article.</p>
<p>afc. Publié le vendredi, 06 juillet 2007</p>
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<p>Sartre et les Sex Pistols à Avignon, dans la bande de la Région</p>
<p>La Voix du Nord - vendredi 6 juillet 2007</p>
<p>Le Festival d'Avignon s'ouvre aujourd'hui, pour trois semaines. Plusieurs compagnies d'ici voguent sur cet océan théâtral. Huit d'entre elles, sélectionnées par le conseil régional, ont jeté l'ancre à l'Espace Pasteur, une île appréciée des festivaliers. Mélange des genres et des âges sont à l'affiche de la Région.</p>
<p>A l'autre bout du fil, sous le ciel de Provence, la voix de Nera Granovsky résonne, enjouée «On est tellement heureux d'être là, lance la jeune metteur en scène. C'est un moment-clé. On défend un spectacle auquel on est attaché, qui ne laisse pas indiffèrent ». Pour sa première à Avignon, la compagnie BVZK, basée a Hemn-Beaumont, présente Solo para Paquita, d'Emesto Caballero. Un acteur joue Paquita, épouse de fonctionnaire délaissée qui vit une aventure amoureuse. «L'intrigue est classique, mais elle tourne de façon surprenante, dit Nera Granovsky Presque en polar, avec des rebondissements, en brouillant les frontières du réel. Nos partis pris esthétiques sont forts, dans la lumière et le son » Les couleurs sont marquées, dans un univers proche d'Almodovar Un batteur joue en direct. La vidéo entre en scène. Le mélange des genres caractérise d'autres spectacles retenus (parmi 40 candidatures) par le jury de la Région, forme d'artistes et de techniciens. Ainsi, Le Cabaret des engages, de l'Hyperbole à trois poils (Bethunois), réunit la chanson et les masques. Voisinent Apollinaire et les Sex Pistols, Les Têtes Raides et Vian «Ces chansons défendent toutes une quête humaniste, indique Nicolas Ducron, metteur en scène. Elles luttent contre l'esclavage, le notabiliat, la précante. Le spectacle est festif, avec une trentaine d'instruments, de la guitare turque au violon alto » Le nom de la troupe résume bien son état d'esprit «Hyperbole a trois poils, c'est une métaphore de Shakespeare, dans Peine damour perdue. Le théâtre est une exagération de la vie, pour nous expliquer ce qu'est la vie, mais sans se prendre au sérieux ». Le cirque sera encore present via Meh-Melo (Seclin), et son bal traverse d'acrobaties. L'art du clown, via une neuve soliste portée par les briscards du Prato, Meles a Avignon Janie Follet est aussi drôle que poignante, dans un tutoiement de folie a la ZOUG 260000 E.
Côté anciens, le Tire-Lame, le Théâtre Octobre et le Théâtre de la Découverte complètent un équipage que la
Région veut équilibre artistiquement et géographiquement. Avec eux et avec Les Voyageurs (Dunkerquois), la critique sociale et la marge forment un visible fil rouge Dominique Sarrazin, de la Découverte (voir ci-dessous), a choisi. L'Enfance d'un chef, de Sartre « C'est la montée en graine d'un jeune bourgeois, un type assez veule, un type bien, qui devient fasciste, antisémite violent. C'est d'une incroyable jeunesse » L'acteur lit le texte en campant tous les personnages «Je joue de la lecture comme on joue de la guitare, a la Led Zep' ». Pour cet acteur chevronne comme pour les jeunes, Avignon est très important pour montrer le spectacle au public et aux programmateurs. La Région leur offre un lieu repérable dans le «off», l'Espace Pasteur, déjà retenu jadis Plus apprécie des festivaliers et agréable à vivre que celui de 2006. Le conseil régional, qui accueille le même nombre de compagnies que l'an passe, loue les locaux, leur fournit aide technique et outils de promotion. Budget global 260000 E.</p>
<p>Christian FURLING.</p>
<p>afc. Publié le vendredi, 06 juillet 2007</p>
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<p>ALLEZ-Y</p>
<p>La Provence - vendredi 6 juillet 2007</p>
<p>Ce soir à 18 h 30 / La grande parade dans le centre-ville "Avignon Festival & Compagnies" a prévu un démarrage en fanfare, puisque ce 6 juillet à partir de 18h30 une grande parade, constituée d'une centaine de chevaux camarguais, mais aussi de représentants des compagnies aura lieu, via la rue de la République et la place de l'Horloge, du boulevard Raspail à la place du Palais, ou des discours marqueront l'ouverture du Festival II y aura aussi, bien sûr, de la musique, et quèlques démonstrations mettant en valeur toutes les formes d'expression vivante. La fête sera loin d'être terminée, puisqu'elle se poursuivra jusqu'au 28 juillet, avec deux autres rendez-vous, le match de football du 13 juillet à 18 heures au stade de Bagatelle, puis le grand bal, place du Palais,
le 28 juillet a 22 heures Alors, que la fête commence.</p>
<p>afc. Publié le vendredi, 06 juillet 2007</p>
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<p>Gérard Volât, sur les ailes de l'ange Festival d'Avignon</p>
<p>Le Dauphiné Libéré - vendredi 6 juillet 2007</p>
<p>Le rideau s'ouvre aujourd'hui et jusqu'au 28 juillet Avec " Dieu nous a crées gratis", le comédien savoyard reprend d'assaut la cite papale. Au festival off d'Avignon, l'acteur chambenen Gerard Volât ne sera pas en terre inconnue. II y revient, aujourd'hui, auréole de son succès de l'an dernier "J'espérons que je m'en sortira ". Titre bancal, maîs cette syntaxe approximative recelé des trésors de tendresse. Le coup est parti d'Italie. L'instituteur d'Arzano, misérable faubourg de Maples, a publié quelques rédactions de ses élèves Phénomène de librairie. De l'autre côté des Alpes, le livre s'est vendu à 3 millions d'exemplaires. Une anthologie de "perles "?
Marcello d'Orta, en profondeur, croît percevoir bien davantage. "Une sagesse et une résignation antique, une gaieté désinvolte et poignante dans sa candeur sous-proletanenne, une chronique hilare et impitoyable de notre sud ", "Judas a trahi Jésus pour une poignée de dollars'". A partir de cette matière brute, Volât a eu l'idée de construire un spectacle original. Le voilà en blouse grise, au milieu de la scène, à méditer les mots d'une classe d'école primaire. Tantôt jubilatoires, "La Suisse, elle vend des armes à tout le monde pour qui se massacre, maîs elle fait même pas une toute petite guerre". Tantôt poignants "Une vraie maman souffre et quand il y a pas d'argent a la maison, elle fait semblant de rien " Entre drôlene et larmes, on entend battre le coeur de l'étemelle enfance. Le fringant Savoyard, porte par la compagnie "Remue-Méninges", va jouer la pièce à trois cents reprises. Avant de la mettre en scene pour Bernard Menez, qui reprend le rôle à Paris. Cet été, dans la cité des papes, il propose le second volet de son "odyssee napolitaine". Marcello d'Orta lui a confié l'adaptation théâtrale française de "Dieu nous a crées gratis" Les "bambim", cette fois, restituent leurs leçons de catéchisme. De quoi visiter toute l'histoire biblique par des chemins buissonmers. Le péplum, ici, croise le western spaghetti "Judas a trahi Jésus pour une poignée de dollars". Et la Génèse respecte le calendner "Adam et Eve vivaient dans le paradis terrestre, même les jours fériés". L'humoristique florilège décape aussi, à l'occasion. Magnifiques de spontanéité, les écoliers touchent des points sensibles". "Tu ne tueras pas, mais il y a des dérogations si tu vas aux croisades" ou encore "Pour se venger de la tour de Babel, le Seigneur créa l'Europe en mélangeant toutes les langues". Soudain, l'aphorisme enfantin se charge d'une puissance philosophique insoupçonnée. Telle la pensée définitive du petit Fiorella, théologien en herbe "Si Dieu nous a crées, c'est son affaire". Le comédien, dans les habits du conteur-conférencier, anime l'ensemble avec subtilité et pédagogie. La projection de peintures mythiques soutient la representation Par la grâce d'une lanterne magique, des princes sont ainsi convies à la fête naïve - Giotto, Bruegel, Botticelli, Rembrandt, le Caravage L'émotion gagne, des souvenirs anciens remontent a la surface Le savant mélange de classique et de modernité culmine dans l'accompagnement musical Haendel, Pergolese et Monteverdi cohabitent gentiment avec Jinn Hendrix, Ray
Charles ou Pink Floyd. La sainte parole des gamins d'Arzano n'est donc pas tombée dans l'oreille d'un sourd.</p>
<p>Jusqu'au 28 juillet, au théâtre "Collège de la Salle", les spectateurs iront la recueillir religieusement. Avec des bleus à l'âme et le sourire aux lèvres.</p>
<p>POUR EN SAVOIR PLUS
Du 6 juillet au 28 juillet, au theâtre "College de la Salle" en Avignon "Dieu nous a crées gratis", avec Gerard Volât
compagnie savoyarde "Remue-Méninges".
Tous les jours, a"l2h et 19h Tel 06 30 16 71 02</p>
<p>afc. Publié le vendredi, 06 juillet 2007</p>
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<p>Les trois lieux d'accueil du festival</p>
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<p>La Provence - vendredi 6 juillet 2007</p>
<p>Avignon Festival & Compagnies a prévu trois principaux lieux d'accueil pour cette édition 2007.</p>
<p>- Au Conservatoire de musique, place du Palais, de IO a 20 heures, distribution de
programmes, ventes de cartes.
- Dans le hall de la mairie, place de l'Horloge, ou un espace est réservé aux programmes et tracts des compagnies.
- A la Maison des Pays de Vaucluse, place de l'Horloge, accueil des professionnels, compagnies, représentants de la presse, diffuseurs, institutionnels.
Délivrances d'accréditations Permanences Sacd, Sacem, CGT spectacles.</p>
<p>II y a également, a l'office de tourisme, un guichet permettant de se procurer les programmes.</p>
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<p>afc. Publié le vendredi, 06 juillet 2007</p>
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<p>Théâtre / La compagnie ciotadenne est au Festival d'Avignon du 6 au 28 juillet</p>
<p>La Provence - vendredi 6 juillet 2007</p>
<pre></pre>
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<p>La caravane pirate emmène Brassens sur les routes.</p>
<p>Notre rève, ça serait d'avoir un chapiteau et de tracer la route " Laetitia Vivaldi et les cinq autres Caravan Pirate n'en sont pas encore là et se contentent pour l'heure du joli théâtre Saint-Jacques, dans la vieille ville. Hébergée là par la Ville depuis qu'en 2006, le Théâtre du nouveau monde a quitte les lieux - en froid avec la municipalité -, la troupe ciotadenne y entrepose ses costumes et instruments de musique, y répète et y abrite ses espoirs de tournées et de rencontres avec le public. Pas si facile, même avec une petite subvention de la Ville, quand on entend vivre du théâtre malgré la reforme de l'intermittence du spectacle "C'est de plus en plus dur, mais on s'en sort en donnant des cours de théâtre, en participant à des projets extérieurs", confie Laetitia. Et en commençant tout juste à faire tourner leur nouveau bébé, le Cabaret théâtre Brassens, La mauvaise herbe.
Cabaret théâtre parce que tous les membres de la troupe sont musiciens. Laetitia et Fand au chant, Laurent a la guitare, Cyril a la flûte et aux perçus, Jean-Christophe à la contrebasse et Stéphane au soubassophone. Brassens ensuite "parce gu 'on a biberonne a sa musique depuis tout petit, explique Fand Chebout, et que les personnages de ses chansons se prêtent super bien au théâtre".
Les Caravan Pirate ont déjà emmené leur cabaret à Manosque et Sainte-Tulle, dans les Alpes-de-Haute- Provence, l'ont présenté devant le théâtre Saint-Jacques pour la fête de la Musique. Mais à compter du 6 juillet, la troupe tente un gros pari le Off d'Avignon Ils ont "loue" un créneau (18h45) au Pulsion théâtre pour quelque 7 000 euros, "une somme énorme vu nos moyens, on a investi l'argent gagné avec nos ateliers, emprunté à droite à gauche ", raconte Laetitia. Le but ? Rencontrer le public jusqu'au 28 juillet et convaincre des tourneurs d'acheter La mauvaise herbe. "On va se défoncer pour sortir du lot, assure Farid. On a travaillé la parade de rue pour annoncer le spectacle (un gorille percussionniste dans une cage en bambou, NDLR), on est a bloc, prêts a foncer" Et à vérifier que, finalement, les braves gens aiment parfois que l'on suive une autre route qu'eux.</p>
<p>Guénaël Lemouée.</p>
<p>afc. Publié le vendredi, 06 juillet 2007</p>
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<p>Théâtre : Histoire du Festival d'Avignon.</p>
<p>www.republique-des-lettres.fr - jeudi 5 juillet 2007</p>
<p>Le premier Festival d'Avignon est né de la rencontre du poète René Char, du metteur en scène Jean Vilar et de l'éditeur critique d'art Christian Zervos. Alors que ce dernier prépare une exposition d'art contemporain qui réunit Picasso, Braque et Matisse dans la chapelle du Palais des papes d'Avignon, il propose à Jean Vilar de faire jouer en même temps la pièce Meurtre dans la cathédrale de T.S. Eliot que le metteur en scène venait de monter au Théâtre du Vieux Colombier à Paris. Jean Vilar refuse mais propose un autre programme à la place. Sous le nom de "Semaine d'art dramatique", trois créations sont ainsi présentées du 04 au 10 septembre 1947 dans trois lieux d'Avignon: Richard II de Shakespeare dans la Cour d'honneur du Palais des papes, La Terrasse de midi de Maurice Clavel au Théâtre municipal et Tobie et Sara de Paul Claudel dans le Verger Urbain V. Quelque 3.000 spectateurs au total assistent aux représentations...
Lire la suite.</p>
<p>afc. Publié le jeudi, 05 juillet 2007</p>
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<p>La Chapelle du Verbe Incarné, Théâtres d'Outre-Mer en Avignon, du 6 au 28 juillet 2007</p>
<p>www.radiofranceinternationale.fr - jeudi 5 juillet 2007</p>
<p>Comme chaque année RFI est partenaire des Théâtres d'Outre-Mer en Avignon à La Chapelle du Verbe
Incarné (21 G, rue des Lices).
Depuis maintenant 10 ans, le TOMA, dirigé par Greg Germain et Marie-Pierre Bousquet, est présent à
Avignon et connaît un succès incontestable.
Sont au programme :
- des textes : le 10 à 20h30 Au-delà de cette limite votre ticket n'est plus valable, le 18 à 10h30 Colin, un
soldat malgré lui, le 19 à 10h30 A la vie ;
- des rencontres avec Edouard Glissant et François Noudelman, Edwy Plenel, Alain Borer, du 14 au 17
juillet à 10h30, dans le cadre de la Semaine du Tout-Monde ;
- du théâtre et de la danse urbaine, de Guadeloupe, de La Réunion, de Guyane, de Martinique..., tous les
jours : à 12h10 Le costume, 13h50 Changer les essuie-glaces, 15h15 La route, 16h55 Hamlet / Lorenzo,
19h00 Manteca, 20h40 Pas de quartier et 22h20 Aztèques.
Plus d'infos et réservation : 04 90 14 07 49
Consulter le site Internet.</p>
<p>afc. Publié le jeudi, 05 juillet 2007</p>
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<p>Avignon repart du bon pied</p>
<p>Le Parisien - jeudi 5 juillet 2007</p>
<p>La 61e édition du festival s'ouvre demain dans un climat apaisé et avec, côté « in », une programmation recentrée sur les textes. Pour ce qui est du « off », plus de 860 spectacles seront proposés au public pendant trois semaines. Balayés, les scandales et les polémiques ! C'est dans un climat plus serein que débute demain la soixante-etunième édition du plus prestigieux des rassemblements consacrés aux arts de la scène, qui se tiendra jusqu'au 27 juillet. Pour leur quatrième mandat à la tête du Festival d'Avignon, Hortense Archambault et Vincent Baudriller ont conçu la programmation en lien avec l'artiste associé Frédéric Fisbach, 41 ans, metteur en scène, directeur du Studio-Théâtre de Vitry et du 104 Aubervilliers, le nouveau centre de création artistique de la Ville de Paris. Un retour aux vertus du texte, après les éditions 2005 et 2006 confiées aux chorégraphes Jan Fabre et Josef Nadj.
Cette fois, la volonté est de rendre hommage aux figures historiques de l'événement, notamment le poète René Char dont on célèbre le centenaire, tout en privilégiant la création (les deux tiers des spectacles sont inédits et l'exploration de nouvelles formes d'expression théâtrale.
« Aucun spectacle n'est inaccessible » L'affiche. Côté « in », pas de locomotive très grand public comme Bartabas en 2006, mais une trentaine de spectacles proposés par des piliers du théâtre contemporain français et européen, et seulement deux créations chorégraphiques. « Cette année, le Festival se concentre autour de toutes les formes d'écriture. Mais il demeure axé sur la création qui, de tout temps, a contribué à sa notoriété », précise Hortense Archambault.
Frédéric Fisbach ouvrira le bal au théâtre municipal avec une nouvelle version des « Paravents » de Jean Genet. Les traditionnelles trompettes de la cour d'honneur du palais des Papes résonneront pour la première fois samedi soir pour « l'Acte inconnu », une pièce de Valère Novarina avec, notamment, Dominique Pinon. L'affluence. L'an dernier, 134 000 spectateurs ont assisté au Festival, sans compter, bien sûr, les milliers de personnes draînées par le « off ». Avec un taux de remplissage de 90 %, et un public de 20 à 80 ans très divers dans sa composition, Avignon se targue d'être toujours « un grand festival populaire ». « Aucun spectacle n'est inaccessible », souligne sa directrice, en citant, par exemple, les 700 lycéens accompagnés d'enseignants qui assisteront à l'ensemble des représentations.
Le « off » se professionnalise. Avec 866 spectacles proposés dans plus d'une centaine de lieux divers (depuis les théâtres climatisés jusqu'aux garages aménagés), la grande foire du « off » demeure l'attraction indispensable de tous les amoureux du spectacle vivant, et un véritable marché pour les producteurs. Cette année, les deux associations qui se concurrençaient se sont réunies sous une bannière unique, « Avignon festival et compagnies », avec l'ambition de professionnaliser davantage l'événement. Tant du point de vue de la location des places, du confort des salles que de la sélection des compagnies, le «off » devrait y gagner en visibilité. Pour fêter ça, il s'offrira une grande parade de rue demain à 17 heures et s'achèvera par un bal populaire place du palais des Papes, le 28 juillet.</p>
<p>Hubert Lizé.</p>
<p>afc. Publié le jeudi, 05 juillet 2007</p>
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<p>Robert et Clara Schumann</p>
<p>Impact Médecine - du 5 au 11 juillet 2007</p>
<p>Avignon Festival off.
Robert et Clara Schumann du 6 au 28 juillet (Rens. Collège de la Salle : 04.90.82.21.56)
Marie-Christine Barrault met en scène Jean Louis Cassarino et Anne Constantin dans la Vie passionnée et douloureuse de Robert et Clara Schumann. Ce spectacle illustre les relations de ce duo lié par la musique et séparé par la folie.</p>
<p>afc. Publié le jeudi, 05 juillet 2007</p>
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<p>Les Soirées du Off à Noves</p>
<p>Le Régional - jeudi 28 juin 2007</p>
<p>Les Soirées du Oft à Noves, 5, 6, 7 juillet. Trois soirées de théâtre populaire, dans le théâtre ambulant des
Carbon!, la Posada. Cet évènement lance le Festival Off d'Avignon, hors les murs!-Le 5 juillet, 21 h 30
«Un de la Canebière». Le 6 juillet, 21 h 30 «Arlequin, serviteur de deux maîtres», de Goldoni. Le 7 juillet,
21 h30, «Scaramuccia l'Européen ».</p>
<p>Avignon, festival d'Avignon 6 au 27 juillet.
Résa au 04.90.14.14.14.</p>
<p>afc. Publié le mercredi, 04 juillet 2007</p>
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<p>Théâtre Alibi y sera !</p>
<p>info.club-corsica.com - vendredi 6 juillet 2007</p>
<p>Dans le cadre de Villeneuve en scène, extension du festival off d'Avignon, la compagnie Théâtre Alibi
présente Prometeo de l'Argentin Rodrigo Garcia.</p>
<p>Du 6 au 28 juillet se déroulent les festivals d'Avignon. Le in... Et le off auquel n'importe quelle compagnie peut se produire. À ses risques et périls : outre que le public, très exigeant, n'hésite pas à quitter la salle ou exprimer très distinctement son mécontentement si d'aventure il juge le spectacle médiocre, les compagnies viennent à leurs frais. À elles de prévoir un budget équilibré et de s'assurer subventions, mécénat ou partenariats privés plutôt que de miser sur des recettes d'autant plus aléatoires que l'offre (plus de 800 spectacles) excède la demande des quelque 250 000 spectateurs. Lire la suite.</p>
<p>Tous les soirs, 22 heures, du 6 au 22 juillet, relâche le 14.</p>
<p>afc. Publié le mercredi, 04 juillet 2007</p>
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<p>Off d'avignon : retour vers la sérénité?</p>
<p>Le Off d'Avignon aura lieu du 6 au 28 juillet. Après son éclatement, après la disparition d'APO puis d'AFO, la situation parait plus apaisée. Le calme après la tempête? Ce sera surtout aux compagnies et au public de juger.</p>
<p>Nathalie Mauret, La Scène - Mars 2007</p>
<p>télécharger l'article - page 2</p>
<p>afc. Publié le lundi, 23 avril 2007</p>
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<p>Après la division, le festival OFF d'Avignon s'annonce plus serein en 2007</p>
<p>AFP - lundi 12 mars 2007, 19h25</p>
<pre></pre>
<p>Divisé en 2006, le festival "Off" d'Avignon, grand carrefour des compagnies théâtrales indépendantes, s'annonce plus serein cette année (6-28 juillet 2007), avec une seule association éditant programmes et cartes d'abonnement.
L'an dernier, ce festival né dans les années 1960 en marge du très sérieux "In" pour proposer une large offre de spectacles (théâtre, humour, jeune public...) sans direction artistique, était accompagné par deux associations, Avignon Festival Off (AFO) et Avignon Festival et Compagnies (AFC).
AFO affichait son "professionnalisme" pour fédérer l'ensemble du secteur et offrir davantage de services aux compagnies (rencontres avec la presse, les programmateurs...), provoquant l'irritation des responsables d'AFC, souvent des directeurs de salles jugeant cette attitude hégémonique.
Les deux associations éditaient leurs propres programmes et cartes d'abonnement donnant lieu à réductions. Résultat: le spectacteur, pris entre deux feux, avait du mal à se repérer dans la jungle du "Off" (près de 700 spectacles et 500.000 entrées attendues chaque année).
La rivalité entre AFC et AFO avait même pris un tour procédurier, la première ayant notamment réclamé en référé, en vain, que la seconde n'emploie plus l'adjectif "officiel" sur ses programmes.
Coup de théâtre le 28 novembre: AFO, qui paraissait pourtant avoir les reins solides - elle était l'héritière d'Avignon Public Off, l'association historique, fondée en 1982, et bénéficiait du soutien des sociétés civiles, comme l'Adami -, était liquidée par le tribunal de grande instance de la ville en raison d'un important déficit financier.
Victime d'une concurrence fratricide, AFO a donc laissé la place à la seule AFC, animée par des figures historiques du "Off" comme André Benedetto et Gérard Gelas.
"Nous allons accompagner le +Off+, qui est le vrai salon du théâtre vivant en France, mais est aussi quelque chose d'extraordinairement fragile. Il faut le protéger et éviter qu'il soit cannibalisé", explique à l'AFP Greg Germain, vice-président d'AFC.
Outre des cartes à 13 euros donnant lieu à 30% de réductions, l'association prévoit un "Off" 2007 festif avec deux grandes parades et compte lutter contre son image, "fausse" selon elle, d'association plus favorable aux lieux qu'aux compagnies en renforçant sa "plate-forme d'accueil des professionnels".
De leur côté, deux anciens d'AFO ont lancé le "Plato-Pro", support électronique d'aide à la communication et à la diffusion du spectacle vivant, mais sans vouloir entrer dans une nouvelle concurrence avec AFC, selon l'une de ses ex-salariés, Solène Jarlegan.
"On sauve nos emplois, il n'y a pas de mal à ça", dit-elle, sans rassurer totalement le vice-président, qui se demande "qui est derrière ces gens".</p>
<p>afc. Publié le lundi, 12 mars 2007</p>
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Un "Roi Lear" rajeuni et contemporain au Festival d'Avignon
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2007-07-29T06:46:31+00:00
2007-07-29T06:46:31+00:00
yves brette
Festival
<p>AVIGNON (AFP) - Un "Roi Lear" de facture contemporaine, avec une langue shakespearienne rajeunie et une frontière des sexes et des générations bousculée, a été créé samedi soir au Festival d'Avignon, dans une mise en scène de Jean-François Sivadier portée par son comédien fétiche Nicolas Bouchaud.</p>
<p>Ce comédien est bien loin d'avoir l'âge d'un Michel Piccoli, qui, à 80 ans, a été le dernier monstre sacré en date à s'être confronté sur une scène française au rôle de ce roi Lear maudit et vieillissant, déshéritant la seule de ses trois filles qui l'aime vraiment, et déclenchant ainsi un séisme dont personne et certainement pas lui ne sort indemne.</p>
<p>Nicolas Bouchaud réalise une véritable performance dans ce rôle tragique, avec une composition très physique et une diction qui claque de façon splendide dans l'acoustique exceptionnelle de la Cour d'honneur du Palais des Papes.</p>
<p>La langue de Shakespeare connait d'ailleurs un sacré coup de jeune, dans la traduction qu'en propose Pascal Collin: si le monde est toujours ce théâtre où "les fous guident les aveugles", c'est sous les injures de "racaille, footballeur de mes deux, saloperie qui se la pète" qu'on voue aux gémonies un courtisan fourbe.</p>
<p>Surprise de taille, également, de découvrir qu'une des trois filles de Lear, la félone Régane, est incarnée par un comédien masculin, Christophe Ratandra, tandis que le fidèle et inflexible Kent, ainsi que le fou du roi Lear, ont subi des changements de sexe dans le sens opposé.</p>
<p>Ces audaces de distribution, destinées à ancrer davantage la pièce dans le monde contemporain, donnent des résultats variables, mais résolument convaincants pour Nadia Vonderheyden qui campe un Kent vigoureux et sensible.</p>
<p>Jean-François Sivadier, qui n'a pas opté pour la facilité en faisant du "Roi Lear" sa première confrontation de metteur en scène avec l'univers shakespearien, a également choisi d'instiller une bonne dose de distance, d'ironie et d'humour dans ce drame de près de quatre heures. La pièce gagne ainsi en respiration et en changement de rythme, même si certaines scènes y perdent en crédibilité, quand elles ne sont pas portées par les acteurs les plus convaincants d'une distribution inégale.</p>
<p>L'influence du théâtre de l'absurde d'un Beckett se fait également sentir dans les choix du metteur en scène, révélé avec "Italienne avec orchestre" (1997), et dont la valeur a été confirmée par ses mises en scène récentes de "La mort de Danton" de Georg Buchner et de l'opéra "Woyzzeck" d'Alban Berg.</p>
<p>Son "Roi Lear" sera joué au Théâtre des Amandiers de Nanterre du 15 septembre au 27 octobre avant de partir en tournée en province, en commençant par Strasbourg en novembre, et en finissant par Rennes (mars 2008) et La Rochelle (avril 2008).</p>
Profession Mère
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2007-07-28T09:33:09+00:00
2007-07-28T09:33:09+00:00
yves brette
Festival
<p>Dans le cadre du Festival d'Avignon, la compagnie Méninas présente une pièce argentine de Griselda Gambaro, "Profession
Mère"...</p> <p>Profession Mère
de Griselda Gambaro</p>
<pre></pre>
<p>Mathilde attend sa fille, Leticia, qu’elle n’a pas revue depuis l’âge de 2 ans. Soucieuse de réussir ces retrouvailles, Mathilde s’appuie sur la présence réconfortante de sa compagne Eugenia. Dès l’arrivée de Leticia, les trois femmes se rendent compte que les liens du sang ne suffiront pas à recréer le lien maternel, qu’il faudra s’exposer, se justifier, se maîtriser pour éviter l’explosion irréversible de colère, de reproche et de rancune. Seule la douceur naïve d’Eugenia, son «instinct maternel » resté sans fruit, parviendra à rendre possible un début de réconciliation.</p>
<p>du 6 juillet au 27 juillet, à 12h40
au Gilgamesh Théâtre
2 bis, place des carmes, 84000 Avignon
dans le cadre du Festival Off d’Avignon."Comment arriver à dire: Je suis ta mère! Mais je le suis. Je le dis comme ça, sans intonation particulière, sur un ton neutre. Tout au plus avec une nuance de surprise." MathildeMise en scène</p>
<pre>Dilia Gavarrete - Lhardit</pre>
<p>Avec</p>
<pre>Isalinde Giovangigli</pre>
<p>Sophie Guillemant
Marie Provence
Scénographie</p>
<pre>Franscesca Giuliano</pre>
<p>Lumière</p>
<pre>Damien Thille</pre>
<p>Traduction</p>
<pre>Françoise Thanas</pre>
<p><br />
<br />
Profession Mère est une tragi-comédie sur le sentiment d’abandon et sur la difficulté de communiquer entre une mère et son enfant. Au-delà du récit, chacun pourra reconnaître des fragments de sa propre histoire:
Comment renouer les fils de liens brisés ? Peut-on réparer les erreurs du passé ? Comment accepter l'autre dans ce qu'il a de plus effroyable et déroutant ?
Il y a d’abord la rencontre avec la langue de Gambaro. Succincte et précise, elle façonne des personnages complexes empreints d’une grande théâtralité. Elle nous parvient de façon immédiate, touchant aux endroits insoupçonnés de l’expérience, de la mémoire. La pièce est courte. Elle finit au moment où une demande d’amour est enfin formulée. Dès la première lecture de Profession Mère, je sais que le travail consistera à éclairer le processus qui donne vie à cette demande d’amour, le chemin que Mathilde et sa fille traversent pour se retrouver. La troisième femme, sorte de modèle maternel et féminin, apparaît comme le point d’ancrage, l’axe métaphorique autour duquel la mère et la fille se confrontent.
Avec les comédiennes, nous cherchons à mettre en évidence les caractères contrastés des personnages, puis, par endroits, à les dépouiller de leurs artifices, à les rapprocher d’une parole authentique et juste, à créer le silence d’où surgit l’émotion. Nous jouons sur les variations de registres : sévères, sentimentales, légères, criardes, graves... Mélange de couleurs qui donne à ce théâtre d'Amérique du Sud son sens si profondément humain et populaire, un théâtre fait de rires et de larmes, un théâtre qui ose poser les questions essentielles de notre existence.</p>
<p>Dilia Gavarrete-Lhardit</p>
<pre></pre>
<p>Griselda Gambaro est née en Argentine en 1928. Elle est aujourd’hui considérée comme une figure de proue du théâtre argentin. Auteur aussi de romans et de nouvelles, elle a étérécompensée par plusieurs prix dont le prestigieux Prix de la Academia Argentina de Letras. Elle a écrit une trentaine de pièces de théâtre toutes crées et publiées dans son pays. Parmi ses principales oeuvres traduites en France figurent La malasangre, El Campo, El desatino, Penas sin Importancia. Sa pièce Profession Mère a connu un très grand succès auprès du public de son pays.</p>
<p><br />
<br />
La Compagnie Méninas
Dilia Gavarrete-Lhardit et Marie Provence, deux comédiennes typées, convaincues du pouvoir subversif du théâtre dans la vie de chacun, décident d’aller au devant du public, de rebrancher le courant. Elles fondent en avril 2005 à Marseille la Compagnie Méninas en développant un concept original de théâtre à domicile et avec l’entreprise. Leur idée: permettra au théâtre de revenir progressivement dans le quotidien de chacun, d’inventer avec les moyens du bord, de donner du fil à retordre.
D’ailleurs, ça marche : la compagnie enregistre ses premiers contrats et perfectionne sa proposition au contact de ceux qui osent. Le courant passe ; on ne sort pas indemne de l’experience et chacun peut la tenter.</p>
<p>Pour sa première création, la compagnie choisit un texte fort d’une figure de proue du théâtre argentin contemporain, Griselda Gambaro, auteur populaire et engagée :
Profession Mère , pièce sucrée-amère sur le sentiment d’abandon et son ombre, la culpabilité, sur la difficulté d’accepter l’étrangeté de l’autre, qui plus est entre parent et enfant.
Présente pour la première fois au festival d’Avignon 2007, la compagnie s’affirme et se projette : à travers le désir de création transparaît celui d’offrir au spectateur un théâtre généreux et cathartique qui touche aux endroits insoupçonnés de l’expérience et de la mémoire.</p>
En Compagnie(s) d'Eté (Théâtre Paris)
urn:md5:141db7084c1b218ca7d0049d8e607a76
2007-07-24T18:19:26+00:00
2007-07-24T18:19:26+00:00
yves brette
Festival
<p>Programme et profession de foi :
<br />
<br /></p>
<p>Amoureusement vôtre</p>
<p>(Comédie musicale aigre-douce sur fond de boléro)</p>
<p>VENDREDI 27 JUILLET au SAMEDI 1 SEPTEMBRE
à 21h15, durée 1h20</p>
<p>Du lundi au samedi, relâche les dimanches
(Relâche la semaine du 13 au 18 août)</p>
<hr />
<p>Georgette va au supermarché</p>
<p>(Voici un spectacle non encore « repéré » par les « experts » et autres institutions…)</p>
<p>VENDREDI 27 JUILLET au SAMEDI 4 AOUT
à 19h30, durée 1h</p>
<p>Relâche le dimanche
(En anglais le mardi 31 juillet et le mercredi 1er août)</p>
<hr />
<p>Manouche, pas touche!</p>
<p>(Une histoire de couple pas ordinaire : une manouche et un gadjo à plusieurs instants de leur vie)</p>
<p>LUNDI 6 AOUT au SAMEDI 11 AOUT
à 19h30, durée 1h10</p>
<hr />
<p>Félicité dans un arbre</p>
<p>(Juste au moment où j'avais le plus grand besoin d'avoir une conversation importante, l'envie que m'effleure le parfum du vaste monde…)</p>
<p>LUNDI 20 AOUT au SAMEDI 25 AOUT
à 19h30, durée 1h</p>
<hr />
<p>Birthdeath : une ode à la vie mortelle</p>
<p>(Virginia VulV est une artiste protéiforme. Shiva des arts plastiques, elle manie les concepts et les supports avec une dextérité et une violence toutes féminines)</p>
<p>MARDI 28, MERCREDI 29 et JEUDI 30 AOUT
à 19h30, durée 50 min</p>
<hr />
<p>Des peuples différents marchent ensemble</p>
<p>(Un spectacle pour le jeune-public et le moins jeunes…
Contes, danses et chants sud-africains au temps de Mandela…)</p>
<p>MARDI 28, JEUDI 30 et VENDREDI 31 AOUT
à 14h30, durée 50 min</p>
<hr />
<p>Nuit d'été loin des Andes... ou dialogues avec mon dentiste</p>
<p>(Une femme, mi diva, mi clown, entre en scène et…)</p>
<p>VENDREDI 31 AOUT et SAMEDI 1 SEPTEMBRE
à 19h30, durée xxx</p>
<p>(Deux représentations exceptionnelles avant la reprise
au Théâtre de l'Atalante du 12 septembre au 15 octobre)</p>
<hr />
<p>Inaugurations / Discours de maire</p>
<p>(Une série de discours de maire, véridiques, tissant de façon drole amour et politique prêts à se donner la main en toute circonstance…)</p>
<p>Fidèles à nos propos :</p>
<p>Partager l'outil : un théâtre.</p>
<p>Le garder ouvert, animé par une équipe indépendante.</p>
<p>Inviter d'autres compagnies sans lieu permanent pour qu'elles puissent montrer leurs créations sur une période assez longue.</p>
<p>Donner aux divers publics, et surtout à celui qui le fait rarement, le désir de franchir les portes du théâtre.</p>
<p>Programmer surtout des créations, le plus possible hors des sentiers battus.</p>
<p>Faire connaître des textes d'auteurs d'aujourd'hui.</p>
<p>S'adresser aux enfants -le public de l'avenir- avec un spectacle exigeant, qui leur donne le goût de l'art et l'envie de revenir.</p>
<p>Loin de l'idée de programmer du « pur divertissement d'été »</p>
<p>Loin du consensuel.</p>
<p>Loin de la mode.</p>
<p>Loin de l'ennui.</p>
<p>Près de nos utopies.</p>
<p>De nos indignations.</p>
<p>Des grands rires salvateurs, jouissifs, rageurs, transgressifs, porteurs d'espoir que les poètes d'hier et d'aujourd'hui nous proposent.</p>
<p>Nous voulons tisser dans la trame des « jours de vacances » des faits artistiques porteurs de pertinence et de sens.</p>
<p>Nous voulons continuer à mettre en commun nos forces, nos compétences et notre énergie.</p>
<p>Nous voulons continuer à affirmer que la solidarité a sa place, qu'elle est bel et bien « moderne »</p>
<p>Nous voulons continuer à défendre le service public, la culture et la création.</p>
<p>Malgré notre pauvreté : 30.000 euros pour mener à bien ce projet provenant de nos uniques soutiens réguliers: la Ville de Paris et la Mairie du XIVe et avec le partenariat du Théâtre 14 Jean-Marie Serreau.</p>
<p>Tous les spectacles ont en commun le souci de l'exigence artistique et du respect du public. Tous ont envie de dire des choses graves et profondes avec légèreté : la légèreté du vent, qui peut être une brise, mais qui sait aussi devenir ouragan.</p>
<p>Tous sont, osons le mot, subversifs, comme l'est ce projet, qui prend position : pour le partage, la solidarité, l'imagination. Une utopie commune dans un lieu qui paraît improbable, là-bas, perdu, « pas loin du périph »</p>
<p>« Mais ... qu'est ce qui se passe là-bas ? »</p>
<p>« Une bande de fous sévit chaque été, des gens qui croient encore que l'imagination peut changer ce qui ne va pas dans le monde ... »</p>
<p>« Ce n'est pas un peu soixante-huitard, ça ? » ...</p>
<p>Augurons-nous un splendide été 2007 pour la sixième saison de En Compagnie (s) d'été.</p>
<p>Susana Lastreto et l'équipe de GRRR.</p>
<pre></pre>
<pre></pre>
<p>GRRR, pilote En Compagnie(s) d'été, est une compagnie dramatique qui existe depuis 1998.</p>
<p>Autour de sa directrice artistique, Susana Lastreto et de fidèles compagnons tels que François Frapier, Annabel de Courson, Hélène Hardouin, Renn Lee, Michel Bertier, Wladimir Beltran, bien de comédiens et comédiennes, chanteurs et chanteuses, scénographes, techniciens, créateurs et créatrices de lumières, costumes, sons, ont, le long des années, fait partie des créations de la compagnie.</p>
<p>Des spectacles mélangeant textes, musique, genres, styles, textes d'auteurs contemporains ou grands auteurs du passé, toujours à la recherche du mouvement cher à Jacques Lecoq, -dont beaucoup dans la compagnie ont suivi l'enseignement- source de vie et d'invention.</p>
<p>Depuis 1998 ont vu le jour : Le cancan des corps guerriers, Les voyages du faune, Cet infini jardin, Cabaret Hugo, Dans les villes, Nuit d'été loin des Andes, Cervantès retable des amours et de nombreuses petites formes.</p>
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<p>Pourquoi GRRR ?</p>
<p>Parce que…</p>
<p>Groupe : Parce que nous nous souhaitons nombreux.</p>
<p>Rires : Jouissifs, jubilatoires, heureux, violents, doux, subversifs…</p>
<p>Rage : De créer.</p>
<p>Résistance : Au conformisme, à la bêtise, à tout ce qui détruit l'humain.</p>
<p>Et aussi parce que GRRR ça peut se prononcer en miaulant, en ronronnant, en rugissant…Grrrrr, GRRRR, gr gr grrrr…</p>
<p>L'équipe de En compagnie(s) d'été 2007 :</p>
<p>Susana Lastreto, François Frapier, Hélène Hardouin, Annabel de Courson, Rita Leys, Alain Carlier, Faten Gurgis, Léon Vialaret, Philippe Mureau, Laurent Machefert, et les stagiaires Laurent Moreau et Arnaud Delaumeni.</p>
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THEATRE 14 JEAN-MARIE SERREAU
20, Av.Marc Sangnier
75014 PARIS</p>
<p>M°Porte de Vanves
Tram : arrêt Porte Didot</p>
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